Kossi de son nom originel Kossi-Mbitéyène est fondé en 1895 par Mad-Bigué Bitèye. Son nom a traversé les frontières pour avoir offert son hospitalité à Cheikhal Islam Cheikh Ibrahima Niass et avoir abrité la première mosquée du Saloum.
Lieu de naissance de la Faydatou Tidianiyah, Kossi est pourtant l’un des villages les plus déshérités du Sénégal. En prélude à son Gamou du 13 février prochain, le village déplore son isolement et son manque d’infrastructures. En effet, la localité est confrontée à un problème criard. « Il n’y pas de forage et c’est étonnant qu’une cité aussi remplie d’histoire religieuse, soit si oubliée », a regretté un fonctionnaire en service dans le village. Le seul édifice qui demeure visible, c’est cette mosquée, la première du Saloum, rénovée par l’Imam Assane Cissé en 2007, un an avant son rappel à Dieu.
Kossi voudrait aussi mettre un terme à son enclavement et souhaiterait être relié à la route bitumée qui lui est distante de 4 kilomètres. Le village est à 9 kilomètres de la commune de Kaolack.
3 Commentaires
Foulbés,
En Janvier, 2016 (15:16 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (13:00 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (19:47 PM).en travaillant dur...nous on entretient les marabouts t leurs villes en priorité...quel pays de merde....pensez à laisser une partie du Sénégal à ceux qui pensent vivre sans le poids des feneants de marabouts.....deux républiques une laïque et une autre islamique.....
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