L’Etat du Sénégal qui chiffre ses efforts pour satisfaire la plateforme revendicative du syndicat des enseignants du supérieur, hausse le ton. «Les étudiants et étudiantes ont des droits que les enseignants doivent respecter. Recevoir les cours, les travaux dirigés, les travaux pratiques, être encadrés dans la rédaction des rapports, projets, mémoires et thèses. Subir les examens et contrôles avec le nombre de sessions correspondants. Nous n'accepterons plus que les étudiants et étudiantes, à cause de grèves répétitives et injustifiées d'enseignants, soient sanctionnés injustement par des sessions uniques ou même par des invalidations de l'année », a averti Mary Teuw Niane qui était face à la presse ce mercredi.
De son avis, le gouvernement a fait preuve de patience et a pris dans les ressources publiques des moyens consistants pour régler des revendications portées par le Saes. Les syndicalistes doivent donc accepter de regagner les amphis à présent : «Chaque enseignant est désormais face à ses responsabilités. Enseigner ou décider de poursuivre une grève qui n'a plus aucun fondement revendicatif». Il en appelle au sens de la responsabilité des syndicalistes.
23 Commentaires
Anonyme
En Mars, 2016 (00:23 AM)Avez-vous donné suite au protocole d'accord signé par le gouvernement?
Si tel n'est pas le cas alors taisez-vous et arrêtez de verser dans la propagande.
Vous nous avez assez berné en nous présentant les enseignants comme les principaux responsables de la situation alors que c'est vous qui ne respectez pas vos engagements.
Assez de vos manipulations!
Ept Promo 88
En Mars, 2016 (00:32 AM)Les Gens Saignant
En Mars, 2016 (01:47 AM)Les gens saignant
Les gens saignant
Les gens saignant
Les gens saignant
Les gens saignant
Les gens saignant
Les gens saignant
Les gens saignant
Anonyme
En Mars, 2016 (02:23 AM)Anonyme
En Mars, 2016 (04:18 AM)Anonyme
En Mars, 2016 (06:39 AM)Comsi le Sénégal leur appartient on est fatigué de subir toujours les conséquences nous étudiants
Papaito
En Mars, 2016 (08:17 AM)Radar
En Mars, 2016 (08:37 AM)Depuis 16 ans, il y’a presque chaque année des grèves à ne plus finir.
Depuis 16 ans, on essaie de sauver l’année scolaire. Les élèves et les étudiants surtout ne terminent pas leurs programmes d’enseignements annuels.
La faute revient en grande partie au régime de maitre Abdoulaye WADE qui a inauguré l’ère des agences nationales avec des directeurs aux salaires indécents, le triplement des indemnités des magistrats et toutes sortes de gaspillages. Les conséquences sur le plus grand corps de l’administration : les enseignants sont là.
Le niveau des élèves et des étudiants est faible. Les universités étrangères et françaises le savent et elles font même des tests de français aux étudiants sénégalais. Oui, ils doutent de la maîtrise de la langue française des petits-fils de l’académicien Léopold Sédar SENGHOR.
L’Etat doit être plus rigoureux. Il faut couper les salaires des enseignants. Lorsqu’ils iront à la banque et consulteront leurs soldes, ils vont soit négocier soit ils vont se radicaliser et nous irons vers une année blanche. Tant pis, ils en assumeront la responsabilité.
Y'en a marre.
... A tous les parents qui ont emmené leurs enfants étudier à l'étranger : vous avez fait le bon choix. Félicitations.
Anonyme
En Mars, 2016 (08:39 AM)Anonyme
En Mars, 2016 (09:21 AM)Anonyme
En Mars, 2016 (09:24 AM)Anonyme
En Mars, 2016 (09:32 AM)Ndell
En Mars, 2016 (09:40 AM)On sacrifie les étudiants (comme à l'UFR SAT de Saint Louis) , et on refuse le sacrifice. L'argent de la nation sert à nous payer (je suis enseignant) quand nous travaillons oas, acceptons de la fermer (c'est plus décent) quand on nous "prive" de ce que nous ne méritons pas...
Il faut de la décence....
Macky est (cependant) très mal conseillé....
Qu'on ne m'insulte pas, soyons juste constructifs et patriotes (pas à géométrie variable !)
Foudre
En Mars, 2016 (09:54 AM)Totene
En Mars, 2016 (10:07 AM)Kiki
En Mars, 2016 (10:12 AM)Anonyme
En Mars, 2016 (10:42 AM)En 2014, le motif des enseignants était la finition des travaux de la deuxième cité des enseignants. L’Etat leur a remis les clés et ils logent dans les maisons neuves.
En 2015, le motif est la réforme des grades et la loi 81-59 portant statut des enseignants des universités est revue et la réforme des grades est passée avec une incidence financière de 4 milliards l'an c'est à dire une augmentation des salaires des enseignants du supérieur de 4 milliards par année.
En 2016, ils parlent de retraites, d'évacuation sanitaires et de je ne sais quoi encore.
Il est temps que l'Etat prenne son courage à deux mains pour mettre fin à ce chantage d'un syndicat dont les principaux dirigeants sont des opposants au régime et que la masse suit pour son intérêt bassement matériel sans prendre en compte le tort subi par les ETUDIANTS que l'Etat a l'obligation de protéger.
L'avenir de nos enfants est en jeu et le débat ne doit plus être politique mais centré sur l'Education.
Je rêve d’émissions de télés sur les grèves et non les élections.
Anonyme
En Mars, 2016 (11:24 AM)Mgueye
En Mars, 2016 (11:26 AM)A chaque fois les travailleurs revendiquent des augmentations , nous qui sommes dans le privé sont lésés car c est nos impôts que nous parlons !
ils faut que ceux qu ils veulent s'enrichir étant enseignants qui le corps , car cela est impossibles!
ils faut régler ce problème une fois pour toute !
Il faut aussi interdire des fonctionnaires qui donnent des cours dans le privé !
Mais aussi que l'Etat fait tout ce qui est dans son pouvoir pour que les plus méritants soient récompensés !
Verdic
En Mars, 2016 (11:54 AM)Anonyme
En Mars, 2016 (12:06 PM)Anonymemari T Niang
En Mars, 2016 (21:18 PM)j'ai réussi, je suis ministre,
je m'occupe plus des bon à rien de sénégalais,
je vous ai mis l'université virtuel les pauvres,
je vais faire des autres universités, des universités fantômes.
Anonyme
En Avril, 2016 (01:37 AM)Participer à la Discussion