La proposition de loi des parlementaires interdisant le parrainage d’une manifestation par les ministres, députés et directeurs généraux, n’est pas du goût des acteurs culturels. Chanteur, animateur, promoteur de lutte, tous sont contre cette proposition de lois brandie par des députés.
Abdou Guité Seck, Gaston Mbengue, Moïse Ambroise Gomis ont tous dénoncé ce qu’ils qualifient de « faux débat » sur les ondes de la Rfm. Pour Gaston Mbengue , promoteur de lutte, « c’est un faux débat.
Le vrai débat c’est de changer la loi, faire de telle sorte que les gens qui n’ont pas un certain niveau ne mettent plus les pieds dans l’Hémicycle. Ces gens là, leur seul diplôme, c’est la politique.
Vous remarquez qu’à l’Assemblée nationale, le niveau est très bas ». Même son de cloche pour l'animateur et promoteur de l’élection Miss DIongoma, Pour Moïse Ambroise Gomis, « c’est du n’importe quoi.
Ça crédibilise encore le fait que les gens se plaignent que les députés ne s’occupent pas du fond. Ces histoires de parrainages ne représentent qu’une infime portion d’argent. Si cet honorable député n’a rien à faire, qu’il le dise.
Y a des choses plus urgentes, plus immédiates et plus importantes dans sa commune. Mais le parrainage d’une manifestation, on trouve vraiment ça comme une comédie.
Ce n’est pas l’argent du contribuable, c’est l’argent d’une personne. Le gars qui parraine, il le fait avec son argent ».
Abdou Guité Seck, artiste-chanteur d’égratigner, au passage, le Bureau sénégalais de Droits d’Auteurs (Bsda) : « Le Bsda, y a un problème à la source. Et, aujourd’hui, je pense que c’est plus sérieux de parler de la survie des artistes et de la structure sénégalaise, que de parler des trucs de parrainage. « Kou ame loula nékh, soula nékhé may koula nékh. Parlons de la nouvelle société des droits d’auteurs », lâche-t-il.
28 Commentaires
From Zion
En Juin, 2013 (14:36 PM)Sp
En Juin, 2013 (14:39 PM)Africain Wayane Rek
En Juin, 2013 (14:53 PM)Rupture
En Juin, 2013 (14:54 PM)Abou
En Juin, 2013 (15:03 PM)Beuzibus
En Juin, 2013 (15:56 PM)Bravoooo
En Juin, 2013 (16:21 PM)The Truth
En Juin, 2013 (16:33 PM)Attention
En Juin, 2013 (16:45 PM)Op
En Juin, 2013 (16:45 PM)Badou Ba
En Juin, 2013 (16:49 PM)Lui
En Juin, 2013 (17:50 PM)Nous avons vu avec l'ancien régime. Des gents qui n'avaient même de quoi se payer le car rapide (genre Farba Senghor) avant d'acceder au pouvoir et subitement qui se mettent à distribuer de l'argent de gauche à droite.
Le fait de chercher à ce qu'un ministre ou un DG de société parraine des manifestation, c'est pousser ce ministre ou DG à voler l'argent du contribuable.
Abdou Guité il faut savoir que cet argent que l'on te donne n'est pas de l'argent propre.
Dés que l'on nomme quelqu'un DG, il commence à puiser dans les caisses pour faire du n'importe quoi.
On doit prendre l'exemple sur l'ancien DG du Port Autonome Bara Sady et sa femme qui n'ont jamais parrainé une quelconque manifestation durant toute sa fonction en tant que DG du Port.
Deug Rek !
En Juin, 2013 (17:52 PM)Khax
En Juin, 2013 (17:56 PM)Ndiayde
En Juin, 2013 (18:10 PM)Haha
En Juin, 2013 (18:21 PM)Etjqrtnq
En Juin, 2013 (18:37 PM)Une honte pour ces 3 mendiants
Boom
En Juin, 2013 (19:29 PM)Les elus parraine avec l'argent du contribuable c'est une verité.
Famille
En Juin, 2013 (19:33 PM)Justiciabilité
En Juin, 2013 (19:45 PM)Le vrai débat c'est que cesse la fonction de politicien, des gens payés à ne rien faire à l'Assemblée, sinon dormir.
Il faut réformer le Code électoral dans ce sens. Un illettré ou quelqu'un incapable de lire et comprendre un texte n'a pas sa place dans cette institution
Boypalm
En Juin, 2013 (21:06 PM)Soyons serieux, ca c'est le 1er pourvoyeur de revenues au Djolof depuis Wade à nos jours. Quand meme!!! Reflechissez un peu wayyy!
Urgent
En Juin, 2013 (21:48 PM)La juge Silvia Fernández de Gurmendi de la CPI
La Cpi vient de renvoyer la décision sur la confirmation des charges contre le président Gbagbo. Dans un communiqué la Cour pénale internationale affirme en substance qu’au vu des preuves en possession des juges, il n’est pas possible de confirmer les charges contre le président Gbagbo, et les juges accordent au procureur un peu de temps afin d’apporter plus de preuves.
Cette dernière décision des juges a été contestée par la juge Silvia Fernández de Gurmendi qui arguant du fait que la majorté des juges soient d’accord sur le fait que les preuves soient insuffisantes, a demandé à la cour de prononcer simplement et purement une décision. Prononcer une décision dans ce cas aurait voulu dire relaxer purement et simplement le président Gbagbo.
Dans une longue lettre de 20 pages adressée aux autres membres de la cour, la juge Silvia Fernández de Gurmendi donne les raisons de son désaccord avec la décision d’ajourner l’audience qui aurait purement et simplement fait relaxer le président Gbagbo.
Nous reviendrons plus en détails sur cette décision historique qui prouve que le président Gbagbo se trouve à la CPI pour des raisons politiques, et que la majorité des juges fait le jeu de la France et de son pouvoir vassal d’Abidjan, en le maintenant loin de son pays
Le Senegal Digne
En Juin, 2013 (22:02 PM)Le Senegal Digne
En Juin, 2013 (22:23 PM)Le Senegal Digne
En Juin, 2013 (22:44 PM)[ La décision sur la confirmation des charges contre Gbagbo ajournée. Le texte en FRANCAIS. ]
#Gbagbo devant la #CPI: Ce qu’il faut retenir - LES JUGES REFUSENT DE CONFIRMER LES CHARGES ET LA CPI VEUT PLUS DE PREUVES AVANT UN EVENTUEL PROCES CONTRE GBAGBO. Notre bataille à nous sera de continuer à PUBLIER la verite et aider l’équipe d’avocats du Président Gbagbo lorsque celle-ci nous sollicitera de nouveau.
[ La décision sur la confirmation des charges contre Gbagbo ajournée. Le texte en FRANCAIS. ]
Aujourd'hui, la chambre Preliminaire I de la cour criminelle internationale (ICC), à majorité, le juge Fernández de Gurmendi , a levé l'audition sur la confirmation des faits et a invité le procureur à considérer fournir davantage d'évidence ou conduire davantage de recherche en ce qui concerne les frais présentés contre LaurentGbagbo conformément à l'article 61 (7) (c) (I) du statut. La chambre a considéré que l'évidence du procureur, vue dans l'ensemble, bien qu'apparent insuffisant, n'a pas semblé manquer ainsi en pertinence et valeur probante et il à laisse la chambre sans le choix mais refuser de confirmer les faits.
Sans compter qu'expliquer son approche à l'évidence, la chambre a également proposé six questions sur lesquelles le procureur peut considérer fournir d'autres informations ou l'autre recherche de conduite, comme, entre autres, les activités de tous les groupes armés opposées aux « pro-Gbagbo forces » dans et autour d'Abidjan entre les novembre 2010 et mai 2011, la structure d'organisation des « pro-Gbagbo forces » et de leur évolution pendant la période de temps appropriée, et les cas allégations de laviolence sexuelle. En décidant si de lever l'audition, la chambre a considéré l'effet de cette décision du droit de Laurent Gbagbo « d'être juge sans retard ». La chambre était d'avis que, tenant compte des particularités de ce cas et du procédé prévu dans le statut, permettant au procureur de fournir plus de recherche d'évidence ou de conduite plus loin pendant une période limitée ne viole pas à l'excès ce droit.
En conclusion, la chambre a adopté un nouveau calendrier pour la conduite suivante des démarches, y compris la révélation de l'évidence et des soumissions du procureur, de la défense et des victimes participant dans ce cas-ci. Le procureur doit révéler toute autre évidence qu'elle veut employer pour les buts de la confirmation des faits et présenter un nouveau document contenant les faits par pas plus tard que le 15 novembre 2013. La défense a le droit de soumettre ses observations sur l'évidence du procureur et à l'évidence additionnelle ou actuelle par pas plus tard que le 16 décembre 2013. Plus tard, les participants ont l'occasion de classer des soumissions écrites finales.
Juge Fernández de Gurmendi a différé d'opinion de la décision levant la confirmation d'entendre de faits. Le juge Fernández de Gurmendi considère que l'adjournement comme fourmuled présuppose une interprétation du rôle de la chambre pre-trial, la norme probatoire applicable exigée pour la confirmation des faits et la de la loi applicable de procédure et de substantif qu'elle ne partage pas en conséquence, elle n'est pas d'accord non plus avec les limites spécifiques de la demande du procureur.
Taurus
En Juin, 2013 (22:57 PM)Citoyens! il est temps pour nous tous de s'impliquer dans la bataille pour le rdresement de nos valeurs de travail, honneur et dignité et ne plus nous laisser imposer des contre modèles par la basse classe sénégalaise, non instruites, égoistes, paresseux et avilissants! que sont: faux petits marabouts, griots de toutes catégories, artistes immoraux et sans inspiration, danseurs obsènes,lutteurs sans cervelles, politiciens corrompus chassés récemment du pouvoirs et journalistes alimentaires!
Adhérons sans hésiter au seul combat qui vaille et sans parti pris: l'équité et la justice au service du dévelopement intellectuel, moral, éthique.
Le Senegal Digne
En Juin, 2013 (23:06 PM)Les juges de la CPI viennent de demander un procureur de fournir des preuves supplémentaires avant de confirmer ou infirmer d'éventuelles charges contre le président Laurent GBAGBO. Nous demandons aux juges de la CPI de faire preuve de courage en libérant purement et simplement SEM Laurent GBAGBO, président de la république de Côte-d'Ivoire. Un report de 6 mois pour avoir des preuves peut changer quoi alors que depuis 2 ans les procureurs de la CPI ont multiplié les voyages en Côte-d'Ivoire, rencontrer des pseudo victimes et disaient détenir un dossier en béton? Vous comprenez pourquoi lors des audiences, les avocats du président ont qualifié de ''brouillon'' l'acte d'accusation de fatou bensouda. Résistants du monde entier, défenseurs de la justice, femmes, enfants, jeunes, vieux; retroussons les manches et continuons le travail de mobilisation en faveur du président Laurent GBAGBO et contre le CPI. Comme il le disait lui même en s'adressant à la cour: ''C'est parce que j'ai respecté les lois de mon pays qu'on m'a envoyé ici''. C'est la politique qui a envoyé SEM Laurent GBAGBO en prison, c'est la politique qui va le faire sortir.
Diane
En Juin, 2013 (09:31 AM)Participer à la Discussion