La couverture sécuritaire de l’édition 2016 du Magal de Touba par la Gendarmerie nationale a permis de noter ce vendredi 18 Novembre 2016 à 18 heures, 18 accidents dont 10 corporels ayant occasionnés 22 blessés et 03 pertes en vie humaine.
A quelques heures de la célébration de ce grand évènement religieux, le Haut commandement de la gendarmerie nationale a mis à la disposition du chef des opérations des moyens importants qui ont été mobilisés, en plus des ressources propres à la Légion Centre Ouest.
C’est ce qu’a révélé la cellule de communication de la gendarmerie. Dans un communiqué parvenu à Seneweb, ladite structure a légitimé cette action du haut commandement de la gendarmerie par une volonté «d’encadrer cet évènement majeur de la vie sociale nationale et de garantir la paix et la tranquillité publique. Près d’un millier de gendarmes ont été déployés : Un peloton de 25 motocyclistes ; la section aérienne de la gendarmerie avec trois (03) avions ; Des équipes judiciaires ; des unités de recherches et des personnels du renseignement (en civil) et des équipes de soutien logistique.
Mais aussi des moyens de mobilité ainsi que du matériel de signalisation routière». L’innovation majeure de cette année a été le déploiement par la Gendarmerie nationale, de drones de surveillance. «Il s’agit de drones de dernières générations capables de couvrir de très grandes superficies en appuie aux unités manœuvrant au sol. Ces drones retransmettent en temps réel à l’état-major du Poste de Commandement Opérationnel, les opérations effectuées sur le terrain. Tous ces moyens sont coordonnés à partir du Poste de Commandement opérationnel basé à la caserne de l’Escadron de surveillance et d’Intervention de Touba».
3 Commentaires
Anonyme
En Novembre, 2016 (11:50 AM)chaque année, de nombreux accidents mortels ou très graves sont à déplorer vu le manque de civisme des soi disant pèlerins de la paix; ils sont aussi excités que ceux qui se rendent au Moyen-Orient pour accomplir le djihad !
Anonyme
En Novembre, 2016 (17:05 PM)Weuz
En Novembre, 2016 (23:50 PM)Faire le bilan de ces événements sans complaisance pour situer les responsabilités des conducteurs privés (moto et autos),des transports publics (taxis, cars rapides,"ndiaga ndiaye", des charrettes, des marabouts et du rôles des forces de sécurité sur leur stratégies. Par exemple, interdire les «Jakarta" est une stratégie élémentaire qui mettra en danger d'autres secteurs (ventes motos et migrations de conducteurs de Jakarta vers scooters).Donc cela ne résous pas le problème mais le déplace. Si cette stratégie continue ainsi, on interdira après les Jakarta, les scooters, vélos, motos, puis charrettes, puis voitures....et finalement le magal!
Je sais que je suis dans un petit ou on aime pas faire le bilan,ni des réflexions poussées, un pays ou c'est toujours la première idée qu'on applique, telle est notre réalité. Avec zéro Jakarta, voilà 13 morts hors retour et c’est dommage. Faisons en une affaire sérieuse
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