Dans le cadre de sa tournée qui l’a conduit à Kaolack et qui le mènera vers d’autres régions comme Fatick, Kaffrine, Kèdougou et Tambacounda, le directeur général de la Senelec s’est rendu à Mèdina Baye. Makhtar Cissè a été reçu par le khalife général des Niassènes, Cheikh Ahmed Tidiane Ibrahima Niass. Face à la presse, Makhtar Cissè a rappelé sa volonté de mieux rapprocher la boîte aux Sénégalais.Toutefois, il a déploré les attaques déraisonnables dont la Senelec est parfois victime. « La Senelec a bon dos. On lui impute des fautes qu’elle n’a pas commises ». Makhtar Cissè de préciser que l’essentiel des désagréments enregistrés sur le réseau électrique est le fait de tierces personnes qui coupent par inadvertance les fils électriques ou gâtent les installations, privant d’alimentation des foyers.
Le directeur général de donner un exemple : « En venant, à hauteur de Thiès, notre délégation a vu un poteau électrique qui a été heurté par un véhicule ». Cet exemple, dit-il, est juste un cas parmi les pléthores de cas enregistrés à longueur d’année.
Serigne Cheikh Tidiane Alioune Niass, d’abord et ensuite Serigne Cheikh Tidiane Ibrahima Niass ont, tour à tour, remercié leur hôte avant de prier pour lui.
11 Commentaires
Anonyme
En Janvier, 2016 (10:19 AM)Anonyme
En Janvier, 2016 (10:28 AM)le trafic des compteurs c'est avec la complicité des agents de la SENELEC.
En outre,partant du fait que le sénégalais n'a pas la culture de prendre soins du bien commun, la gratuité des factures doit être supprimée pour votre personnel qui ne paye pas le courant et qui ne se gêne pas à s'équiper de toute sorte de matériels. Valable pour vos retraités qui louent leurs maisons, ne payent pas l'électricité et pourtant empochent de leurs locataires, le montant équivalant. Il est temps que votre personnel cesse d'être des parasites sur notre dos. un vrai audit s'impose à la SENELEC......Wa salam
Anonyme
En Janvier, 2016 (10:58 AM)Foulbés,
En Janvier, 2016 (10:59 AM)«Un verset du Coran (Sourate 49, verset 14), interpellant des Arabes des tribus bédouines qui ont accepté l’islâm, marque clairement cette différence: Les Arabes (Bédouins) disent : «Nous avons cru». Dis: «Vous n’avez pas cru», mais dites plutôt : «Nous nous sommes soumis [aux règles]» car la foi n’est pas entrée dans votre cœur». Or l’islâm a dessiné une Voie (sharî ‘ ah), une méthodologie et une praxis (minhaj) pour y parvenir et ainsi s’élever dans la proximité de l’Unique. Le courant mystique originel des «zuhhâd», qui privilégiait l’éloignement du monde pour se concentrer sur l’amour exclusif de Dieu, s’est peu à peu diversifié et institutionnalisé à travers des cercles (turuq, sing. Tarîqah) et autres structures locales (ribât, khanaqah, zawiyah), avec des ramifications nationales et internationales. Chacun de ces cercles a développé sa méthodologie, avec ses étapes, ses niveaux et ses stations (marâtib, maqâmât) auquel le croyant initié (murîd) doit accéder par l’effort pour s’approcher de Dieu et vivre des états spirituels de grande intensité (ahwâl) qui sont des dons de Dieu».
«Les enseignements sûfîs sont très divers, mais on peut mettre en évidence un nombre de points communs : la finalité de la foi en Dieu est Son amour ; les rituels et les actions, impératifs en tant que moyens de libération de l’égo, n’en sont pas la finalité ; l’élévation vers Dieu nécessite des enseignements, une initiation et des étapes et se présente comme un voyage (à l’image du pèlerinage, dont c’est le sens symbolique) ; enfin, la foi doit être visible par l’agir, le comportement et la vertu, autant de signes qui indiquent et confirment l’évolution spirituelle du croyant en quête d’initiation».
«Au sein de la tradition musulmane, les mystiques sont ceux qui ont le plus insisté sur le comportement, la moralité et l’éthique (akhlâq), mettant en avant un rapport triangulaire important : le respect du rituel et des règles doit avoir pour conséquence le changement de comportement ; cette réforme du comportement clarifie la finalité des règles et du rituel ; enfin, tous deux – le rituel respecté et le comportement réformé – permettent la réalisation et l’élévation spirituelles du fidèle qui s’approche de Dieu, libéré de son ego et empli de Son amour. Formulé en ces termes, ce message est le cœur de l’islâm, au-delà de la diversité des écoles et des tendances».
«Il existe un nombre incalculable de cercles mystiques à travers le monde. Certains sont restés fidèles à la tradition ; d’autres, non sans excès, ont voulu se déprendre de l’obsession de la règle au point de la négliger, ou encore ont insisté sur des éléments qui pouvaient s’apparenter à des déviations vis-à-vis des exigences de la foi. Des cercles anciens et contemporains, sérieux et rigoureux, préservent la tradition de l’enseignement mystique originel. D’autres ont fait du guide ou du maître spirituel un être presque parfait ou infaillible que l’on vénère aveuglement, comme s’il s’agissait d’un dieu ou d’un saint».
«De telles dérives relèvent du «shirk» (qui consiste à associer un être à l’adoration de Dieu unique). Le rituel prescrit est parfois négligé et il arrive que certaines pratiques commandées ou recommandées soient, dans l’ordre du credo (‘aqîdah), des innovations réprouvées (bida). Comme le littéralisme ou le légalisme, le soufisme n’est donc pas épargné par les dérives qui le minent de l’intérieur, à tel point que certains cercles ont été instrumentalisés à des fins politiques et fort peu mystiques».
«De façon schématique, quatre principes (ou conditions) permettent d’identifier, de prime abord, un cercle mystique respectueux de la tradition musulmane : 1) le rituel et les règles de bases sont respectés (certaines pratiques peuvent être ajoutées, mais non pas retranchées, comme l’indique la tradition prophétique) ; 2) le guide ou le maître rapproche de Dieu et non de lui-même, au grè d’une vénération qui le sacralise dangereusement ; 3) le cercle ou l’ordre sûfî ne sert aucun régime ou pouvoir politique, il préserve jalousement son indépendance ; 4) l’institution ne soustrait pas de l’argent aux fidèles à des fins peu transparentes ou pour le seul profit du guide et de son entourage, qui vivent dans le luxe tout en appelant les fidèles à dédaigner les biens de ce monde».
«Pour réelles et observables qu’elles soient dans différents courants, ces dérives ne suffisent pas à entacher la crédibilité de la longue tradition sûfî, qui n’a de cesse de rappeler aux musulmans que les règles ne peuvent s’appliquer sans compréhension, que la peur de Dieu et la culpabilité ne sont pas des garanties d’élévation et, enfin, que la voie du salut et de la félicité passe par la réforme de soi dans la confiance». Fin de citation. Certains-es....
Foulbés.
Anonyme
En Janvier, 2016 (12:37 PM)PUOR EUX
Anonyme
En Janvier, 2016 (12:49 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (14:28 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (16:28 PM)Jules Ndiaye
En Janvier, 2016 (17:53 PM)A notre humble avis,les poteaux de la Senelec doivent etre protégés systématiquement en ville comme à la campagne
Le service recouvrement de la senelec doit etre plus actif car des chéques émis au profit de la senelec restent plusieurs semaines avant d,etre débités de nos comptes
Enfin,les agents de la Senelec doivent etre motivés d,avantage financièrement à la hauteur des résultats comme à la Sonatel.
Yes! You can sunugaal:
Lamane
En Janvier, 2016 (20:44 PM)il a reussi partout ou il est passé
je vois en lui le future president de la republique apres les 2 mandants de macky
Anonyme
En Janvier, 2016 (22:18 PM)Participer à la Discussion