C’est un véritable calvaire que vivent les populations de bon nombre de quartiers de Dakar depuis hier jeudi. En début de journée hier jusqu’à l’heure où ces lignes sont rédigées, l’eau ne coule plus des robinets dans plusieurs localités de la capitale sénégalaise.
Les populations, en plus du supplice de parcourir des kilomètres en quête du liquide précieux, sont exposées aux maladies en se tournant vers les puits, pompes « jambaar » et autres sources d’eau dont l’utilisation est fortement déconseillée à cause de la nappe contaminée.
Une panne à Keur Momar Sarr est à l’origine de ce désagrément qui rend désagréable le quotidien des dakarois, mais la SDE s’attèle à boucler les travaux pour décanter la situation. Toutefois, le martyre des ménagères n’est pas proche de son épilogue car à en croire nos confrères de Sud FM, la situation ne devrait revenir à la normale que la semaine prochaine.
30 Commentaires
Wal
En Septembre, 2013 (22:39 PM)Ah la carence des politiciens...
Où est le ministre des infrastructures terrestres, grande gueule,?
....
Tabrou
En Septembre, 2013 (22:43 PM)Et en plus ce n'est pas gratuit; continue de nous prendre pour des jambons.... On n'est pas dupe concernant tes magouilles.
Galéé
En Septembre, 2013 (22:52 PM)Iceberg
En Septembre, 2013 (23:31 PM)Der...
En Septembre, 2013 (23:33 PM)... EN MARS 2000... J'AVAIS VOTè AVEC UN "KHOL BOU TANGUE".... ET 12 ANNEES DE LARMES, DE MRDE......
... MARS 2012.... G VOTè ...... ATTENTION ATTENTION ATTENTION....
...
Repassant
En Septembre, 2013 (23:35 PM)Malade
En Septembre, 2013 (00:21 AM)Pa Meissa
En Septembre, 2013 (01:19 AM)Doul Wayyyyyy
En Septembre, 2013 (01:53 AM)Grav !
En Septembre, 2013 (02:44 AM)keski les empeche de sortir les camions citerne de l'armée ou des sapeurs aider les gens!
c'est du nimporte koi sénégal !!
légui vidéo prime 5 la beug merci
Le Mentaliste !
En Septembre, 2013 (03:49 AM)Le Dégoûté
En Septembre, 2013 (04:22 AM)Il paraît que M. Sémou Mama Diop est un écrivain. Il paraît qu’il incarne aujourd’hui, avec quelques autres, la nouvelle garde de la littérature sénégalaise. Il paraît même, affirment les plus hardis, que M. Sémou Mama Diop aurait du talent.
Je dois alors être tombé sur le mauvais livre : car si M. Diop a quelque talent, j’en ai en vain cherché une trace dans son roman Thalès-le-fou.
L’histoire, s’il y en a une, a pour cadre Wakogne, un quartier embourbé dans une profonde misère au sein d’un pays imaginaire, la République démocratique du Jolof. Le narrateur, Thalès, est un fou. Et à travers sa parole de fou, s’incarne toute une galerie de personnages : les jeunes désœuvrés de Wakogne amassés au banc « jaxlé » et rêvant d’Europe, les hommes politiques véreux et facilement identifiables, les habitants du quartier, du marabout charlatan au père de famille irresponsable, de la commère à la vieille veuve, du jeune intègre au vieux libidineux. Tous ces personnages sont supposés représenter des types de la misère sociale, et les interactions entre eux, tenir lieu de scènes de la vie quotidienne. Quant au sujet propre du livre, il est difficile à saisir : « l’émigration ou l’immigration clandestine » nous dit la quatrième de couverture. L’éditeur eût tout aussi bien pu écrire : le mensonge politique, l’injustice sociale, ou encore, la fameuse hypocrisie nationale.
C’est dire que Thalès le fou est un roman touffu, qui brasse beaucoup de thèmes. En soi, cela n’est pas grave. Mais que cette profusion de sujets obstrue le propos l’est. Un roman avec cette ambition eût nécessité du souffle : non seulement littéraire, mais encore, physique. Il semblerait que M. Diop n’ait eu ni l’un ni l’autre : 155 pages, c’est maigre. A vouloir parler de tout, il n’a réellement parlé de rien ; à vouloir tout peindre, il n’a fait qu’esquisser. Aucun thème, aucun personnage n’est développé avec la profondeur qu’il eût fallu ; tous, enfin, sont sans épaisseur.
La dispersion du discours, sa fragmentation, pouvaient dans un sens être justifiés par le fait qu’il était pris en charge par un fou, c’est-à-dire par la figure par excellence de l’errance, du discours déconstruit, a-topique. La quatrième de couverture, encore elle, nous apprend d’ailleurs que le récit suit cette « démarche en diagonale propre au fou de l’échiquier qui côtoie en un simple déplacement les rois et les manants. » Thalès, le narrateur, bouge certes beaucoup, mais la fréquence de ses déplacements n’a d’égale que la légèreté de son discours social. La figure du morosophe, du fou détenteur de sagesse sinon de vérité, pour être saisissante, doit pouvoir imprimer à son propos, aussi décousu soit-il, une certaine puissance. On le sait depuis Erasme et Foucault. Mais nulle trace de cette puissance ici : le discours du narrateur est superficiel, trop rapide.
En vérité, le discours de Thalès sombre très vite dans la répétition, et le roman est infesté de références culturelles potaches, mises en italiques, comme pour dire : « attention, étalage de culture ici, référence en cours. » Une si longue lettre est mêlée à La Grande vadrouille, qui est mêlée à La Comédie humaine, qui est mêlée à Starsky et Hutch, qui est mêlé à La Fontaine, qui est mêlé à Senghor, qui est mêlé au Prince de Machiavel, qui est mêlé au Tartuffe de Molière, etc. L’on finit par croire qu’en écrivant, M. Diop a cherché à prouver que son fou était savant, cultivé. Etonnant, sous ce rapport, qu’il ne se soit pas souvenu de ce mot de Sagan –le connaissait-il ?- : « la culture c’est comme la confiture : moins on en a, plus on l’étale. »
Je ne m’attarderai pas sur le style de ce roman, il est l’un des plus laborieux que j’aie jamais rencontré. Oyez plutôt : « Maintenant que j’ai mis les points sur les i et l’accent grave sur les e pour que vous sachiez que mon ton est grave et que je n’aime pas les familiarités entre lecteur et auteur, je vais vous exposer les raisons qui m’ont poussé à m’étaler et étaler la misère de mon pays et de Wakogne sur ces papiers de fortune. » Ou encore : « Rambo tâta sa braguette et fit glisser le zip. Il nous sortit son instrument, son homo-erectus, un bazooka aussi gros que celui de Sylvester Stallone dans Rambo II la Mission, et je n’ai pas pu m’empêcher de l’imaginer dans la position du missionnaire surarmé cherchant dans la forêt vietnamienne de Grosses Fesses des JA portés disparus… » Je m’en arrête là.
En vérité, ce qui est le plus étrange quant au style de M. Diop, c’est qu’il est souvent qualifié de « trash », de subversif, comme s’il suffisait de mettre bite, cul, couille dans une même phrase pour être trash, comme si la subversion d’un langage se mesurait à sa vulgarité, comme s’il suffisait de mettre des points de suspension, des injures, et un simulacre de gouaille populaire partout pour être estampillé sous-héritier de Céline. Il n’en faut décidément pas beaucoup pour effaroucher les vierges de la critique littéraire sénégalaise qui, comme M. Diop semble-t-il, n’ont pas compris cette chose fondamentale en littérature : que le langage est en lui-même une subversion, et une subversion d’autant plus efficace qu’on ne la surcharge pas d’effets. Qu’on se le dise, M. Diop n’est ni trash ni vulgaire. Il manque de naturel. Il se regarde écrire et rit à ses propres blagues. On le voit arriver à des lieues avec ses gros sabots. C’est un magicien dont les trucs sont connus à l’avance. En somme, c’est un romancier médiocre.
En fin de compte, la seule chose qui m’aura fait marrer dans ce bouquin est la réception qu’il a eue. Il a été interdit au Sénégal, censuré par le président Wade. Et sur ce point, je suis d’accord avec M. Diop : il n’y avait pas de quoi. Vraiment pas.
Tout au long de l’ouvrage, Thalès ne cesse de répéter qu’il veut écrire cette œuvre en six jours comme le Bon Dieu fit la Terre, et se reposer le septième. Dieu au moins a réussi son oeuvre, Lui.
Et aux sept péchés capitaux qui servent d’ossature aux sept chapitres du roman, l’on devrait rajouter un huitième : l’absence de talent littéraire.
Mais qui sait, peut-être M. Diop progressera-t-il. Il faut croire aux miracles. Que je sois allé au bout de ce roman en est bien un, après tout.
Xoxo
En Septembre, 2013 (04:27 AM)Le Dégoûté
En Septembre, 2013 (04:40 AM)La dispersion du discours, sa fragmentation, pouvaient dans un sens être justifiés par le fait qu’il était pris en charge par un fou, c’est-à-dire par la figure par excellence de l’errance, du discours déconstruit, a-topique. La quatrième de couverture, encore elle, nous apprend d’ailleurs que le récit suit cette « démarche en diagonale propre au fou de l’échiquier qui côtoie en un simple déplacement les rois et les manants. » Thalès, le narrateur, bouge certes beaucoup, mais la fréquence de ses déplacements n’a d’égale que la légèreté de son discours social. La figure du morosophe, du fou détenteur de sagesse sinon de vérité, pour être saisissante, doit pouvoir imprimer à son propos, aussi décousu soit-il, une certaine puissance. On le sait depuis Erasme et Foucault. Mais nulle trace de cette puissance ici : le discours du narrateur est superficiel, trop rapide.
En vérité, le discours de Thalès sombre très vite dans la répétition, et le roman est infesté de références culturelles potaches, mises en italiques, comme pour dire : « attention, étalage de culture ici, référence en cours. » Une si longue lettre est mêlée à La Grande vadrouille, qui est mêlée à La Comédie humaine, qui est mêlée à Starsky et Hutch, qui est mêlé à La Fontaine, qui est mêlé à Senghor, qui est mêlé au Prince de Machiavel, qui est mêlé au Tartuffe de Molière, etc. L’on finit par croire qu’en écrivant, M. Diop a cherché à prouver que son fou était savant, cultivé. Etonnant, sous ce rapport, qu’il ne se soit pas souvenu de ce mot de Sagan –le connaissait-il ?- : « la culture c’est comme la confiture : moins on en a, plus on l’étale. »
Je ne m’attarderai pas sur le style de ce roman, il est l’un des plus laborieux que j’aie jamais rencontré. Oyez plutôt : « Maintenant que j’ai mis les points sur les i et l’accent grave sur les e pour que vous sachiez que mon ton est grave et que je n’aime pas les familiarités entre lecteur et auteur, je vais vous exposer les raisons qui m’ont poussé à m’étaler et étaler la misère de mon pays et de Wakogne sur ces papiers de fortune. » Ou encore : « Rambo tâta sa braguette et fit glisser le zip. Il nous sortit son instrument, son homo-erectus, un bazooka aussi gros que celui de Sylvester Stallone dans Rambo II la Mission, et je n’ai pas pu m’empêcher de l’imaginer dans la position du missionnaire surarmé cherchant dans la forêt vietnamienne de Grosses Fesses des JA portés disparus… » Je m’en arrête là.
En vérité, ce qui est le plus étrange quant au style de M. Diop, c’est qu’il est souvent qualifié de « trash », de subversif, comme s’il suffisait de mettre bite, cul, couille dans une même phrase pour être trash, comme si la subversion d’un langage se mesurait à sa vulgarité, comme s’il suffisait de mettre des points de suspension, des injures, et un simulacre de gouaille populaire partout pour être estampillé sous-héritier de Céline. Il n’en faut décidément pas beaucoup pour effaroucher les vierges de la critique littéraire sénégalaise qui, comme M. Diop semble-t-il, n’ont pas compris cette chose fondamentale en littérature : que le langage est en lui-même une subversion, et une subversion d’autant plus efficace qu’on ne la surcharge pas d’effets. Qu’on se le dise, M. Diop n’est ni trash ni vulgaire. Il manque de naturel. Il se regarde écrire et rit à ses propres blagues. On le voit arriver à des lieues avec ses gros sabots. C’est un magicien dont les trucs sont connus à l’avance. En somme, c’est un romancier médiocre.
En fin de compte, la seule chose qui m’aura fait marrer dans ce bouquin est la réception qu’il a eue. Il a été interdit au Sénégal, censuré par le président Wade. Et sur ce point, je suis d’accord avec M. Diop : il n’y avait pas de quoi. Vraiment pas.
Tout au long de l’ouvrage, Thalès ne cesse de répéter qu’il veut écrire cette œuvre en six jours comme le Bon Dieu fit la Terre, et se reposer le septième. Dieu au moins a réussi son oeuvre, Lui.
Et aux sept péchés capitaux qui servent d’ossature aux sept chapitres du roman, l’on devrait rajouter un huitième : l’absence de talent littéraire.
Mais qui sait, peut-être M. Diop progressera-t-il. Il faut croire aux miracles. Que je sois allé au bout de ce roman en est bien un, après tout.
Thalès-le-fou, par M. Sémou Mama Diop, 155 pages, éd. L’Harmattan.
Alphaone
En Septembre, 2013 (05:27 AM)Avec la courbe de production d'eau, d'électricité, de nourriture.
Sans oublier la maintenance, l'entretient et la rénovation des infrastructures indispensables.
Comptabilisez les frais inutiles depuis la dernière décennie (Autoroute à péage, aéroport, statue, restauration du pont faidherbes, Anoci, Fesman, avion présidentiel ainsi que les dépenses exorbitantes pour PARAITRE en voie de développement, sans oublier la construction ou la rénovation d'édifices religieux avec les nombreuses célébrations couteuses qui les accompagnent.
Vous verrez que ce qui arrive maintenant, était prévisible il y à plus de dix ans, alors tirez en vous même les conclusions qui s'imposent.
Et si vous voulez que ça change?
Commencez par:
1- Stabiliser la population.
2- Interdire le travail informel, car ce sont les emploi formels qui payent des taxes pour permettre les travaux indispensables.
3- Limitez le salaire des dirigeants, à 10 fois le salaires des employés les moins bien payés, pour une meilleure justice sociale.
4- Arrêtez les dépenses de prestige.
5- Faits payer des taxes aux marabouts et autres cultes.
Complétez cette liste avec ce qui vous permettra d'avoir un salaire décent pour un travail décent.
Ou pas.
Zzzz...
En Septembre, 2013 (05:57 AM)What the #*%
Boy Mélax
En Septembre, 2013 (10:21 AM)J’ai essuyé alors les injures de toutes les petites têtes de ce forum. Pourtant, les événements de ces temps-ci semblent donner raison à notre sage.
En effet, sitôt une femme installée à la primature, que les signaux d’un lendemain incertain apparaissent pour notre pays :
-il y a quelques jours, le Khalif général des tidianes manifestait son soutien à Idrissa Seck et le lendemain, Touba, dont une délégation a été reçue par Macky Sall, se range du côté de ce dernier : c’est la guerre des confréries. Du jamais vu au Sénégal !
-La coalition Benno Bokk Yaakaar, gage d’une certaine stabilité dans la sphère politique, éclate avec le départ d’Idrissa Seck, suivi de la création, entre l’AFP et la LD, d’une alliance stratégique "autour de Macky Sall" (De qui se moque-t-on ?), puis de la démission de maître Doudou Ndoye. C’est le début d’une instabilité politique, de projets politiques machiavéliques au Sénégal !
-Aujourd’hui, nous vivons la plus grave pénurie d’eau de toute l’histoire du Sénégal (Rappelons qu’avec Mame Madior Boye - la première femme qui avait entre ses mains les affaires de la République - c’était la plus grande catastrophe maritime de histoire de l’humanité).
Je demande au Président Macky Sall de faire preuve de courage et de rectifier le tir. Cette dame a des compétences, c’est indéniable. Elle est bonne pour être ministre et conseillère du PR. Mais de grâce, mettez devant quelqu’un qui a quelque chose entre les jambes et la tête sur les épaules, c’est-à-dire un couilleux.
Boy Mélax
En Septembre, 2013 (10:22 AM)J’ai essuyé alors les injures de toutes les petites têtes de ce forum. Pourtant, les événements de ces temps-ci semblent donner raison à notre sage.
En effet, sitôt une femme installée à la primature, que les signaux d’un lendemain incertain apparaissent pour notre pays :
-il y a quelques jours, le Khalif général des tidianes manifestait son soutien à Idrissa Seck et le lendemain, Touba, dont une délégation a été reçue par Macky Sall, se range du côté de ce dernier : c’est la guerre des confréries. Du jamais vu au Sénégal !
-La coalition Benno Bokk Yaakaar, gage d’une certaine stabilité dans la sphère politique, éclate avec le départ d’Idrissa Seck, suivi de la création, entre l’AFP et la LD, d’une alliance stratégique "autour de Macky Sall" (De qui se moque-t-on ?), puis de la démission de maître Doudou Ndoye. C’est le début d’une instabilité politique, de projets politiques machiavéliques au Sénégal !
-Aujourd’hui, nous vivons la plus grave pénurie d’eau de toute l’histoire du Sénégal (Rappelons qu’avec Mame Madior Boye - la première femme qui avait entre ses mains les affaires de la République - c’était la plus grande catastrophe maritime de histoire de l’humanité).
Je demande au Président Macky Sall de faire preuve de courage et de rectifier le tir. Cette dame a des compétences, c’est indéniable. Elle est bonne pour être ministre et conseillère du PR. Mais de grâce, mettez devant quelqu’un qui a quelque chose entre les jambes et la tête sur les épaules, c’est-à-dire un couilleux.
Boy Mélax
En Septembre, 2013 (10:23 AM)J’ai essuyé alors les injures de toutes les petites têtes de ce forum. Pourtant, les événements de ces temps-ci semblent donner raison à notre sage.
En effet, sitôt une femme installée à la primature, que les signaux d’un lendemain incertain apparaissent pour notre pays :
-il y a quelques jours, le Khalif général des tidianes manifestait son soutien à Idrissa Seck et le lendemain, Touba, dont une délégation a été reçue par Macky Sall, se range du côté de ce dernier : c’est la guerre des confréries. Du jamais vu au Sénégal !
-La coalition Benno Bokk Yaakaar, gage d’une certaine stabilité dans la sphère politique, éclate avec le départ d’Idrissa Seck, suivi de la création, entre l’AFP et la LD, d’une alliance stratégique "autour de Macky Sall" (De qui se moque-t-on ?), puis de la démission de maître Doudou Ndoye. C’est le début d’une instabilité politique, de projets politiques machiavéliques au Sénégal !
-Aujourd’hui, nous vivons la plus grave pénurie d’eau de toute l’histoire du Sénégal (Rappelons qu’avec Mame Madior Boye - la première femme qui avait entre ses mains les affaires de la République - c’était la plus grande catastrophe maritime de histoire de l’humanité).
Je demande au Président Macky Sall de faire preuve de courage et de rectifier le tir. Cette dame a des compétences, c’est indéniable. Elle est bonne pour être ministre et conseillère du PR. Mais de grâce, mettez devant quelqu’un qui a quelque chose entre les jambes et la tête sur les épaules, c’est-à-dire un couilleux.
Xoxo
En Septembre, 2013 (10:24 AM)Xoxo
En Septembre, 2013 (10:26 AM)Tanty
En Septembre, 2013 (10:43 AM)Thiessois
En Septembre, 2013 (10:56 AM)Fad
En Septembre, 2013 (12:54 PM)Leboom
En Septembre, 2013 (14:32 PM)Je me moque pas des autres mais prenez votre mal en patience meme si on sait que le Macky ne va pas virer ces incompetents car ils tous pareils Senegal toujours en recule.
Sarakh.com
En Septembre, 2013 (14:35 PM)Tambidou
En Septembre, 2013 (19:38 PM)Africain221
En Septembre, 2013 (19:54 PM)Dommages Et Intérets
En Septembre, 2013 (20:40 PM)Sx
En Septembre, 2013 (08:55 AM)une panne si importante ne peux etre réparée en quelques heures.
les gens se dépensent à fond depuis pour arriver à bout de ce désagrément
un peu de respect à ses braves gens.loudoul panne amoul et sonatel et la senelec
c'est dans l' ordre normal de toute oeuvre huumaine.
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