La Fédération des associations féminines du Sénégal (Fafs) regroupant 450 associations et plus de 10 000 membres, représentée dans les 14 régions du Sénégal, a lancé, hier, sous la présidence de la ministre d’Etat, ministre de la Famille et des Organisations féminines, Mme Aïda Mbodj, le projet de renforcement des dynamiques communautaires des associations et groupements féminins dans la lutte contre les phénomènes migratoires.
Ayant joué un rôle important dans l’autonomisation des femmes, le renforcement de leurs capacités et les formations professionnelles, la Fafs compte jouer sa partition pour arrêter les migrations irrégulières ou clandestines. Parce que, selon sa présidente nationale Abibatou Ndiaye, «il est reconnu aujourd’hui, que les femmes restent confrontées à d’importants obstacles qui freinent leur participation au développement durable et la migration en est une».
Ce projet, qui s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des projets et programmes du 10e Fed financés par le gouvernement du Sénégal et l’Union européenne à hauteur de 123 191 801 F Cfa, soit 80% du budget global, se veut une contribution à une meilleure gestion des flux migratoires. Mais aussi pour renforcer les dynamiques communautaires des associations et groupements de femmes dans la bataille qu’elle comptent mener contre les phénomènes migratoires tout en posant les grands défis qui interpellent les femmes. «La Fafs veut à travers ce projet contribuer à une harmonisation de la gestion de la migration par la mise en place de stratégies innovantes pouvant stopper la migration et qui renforcent les dynamiques communautaires des associations et groupements féminins dans la lutte contre les phénomènes migratoires irrégulières», ajoute la présidente de la structure.
Mme le ministre d’Etat Aïda Mbodj de préciser que ce phénomène migratoire est une «question d’importance particulière pour le gouvernement sénégalais et pour tout le peuple». Elle ajoute : «Ce phénomène subsiste du fait d’une crise mondiale structurelle et d’une embellie imaginaire de la part de certains migrants qui, de retour au pays, ont pu réussir la construction d’une villa après tant d’années d’absence». Comme première avance, elle leur offre un chèque d’un million de francs.
Ne ratant pas l'occasion de faire dans la campagne, Aïda Mbodj, comme si le Sénégal s'arrêterait après Wade, fait la promesse aux femmes de prendre en charge le projet et de le suivre jusqu’à à son terme, si Abdoulaye Wade se fait réélire en 2012. «Je ne fais pas de chantage mais prions pour que Abdoulaye Wade soit réélu pour que je puisse prendre en charge le personnel», dit-elle aux femmes.
Ayant joué un rôle important dans l’autonomisation des femmes, le renforcement de leurs capacités et les formations professionnelles, la Fafs compte jouer sa partition pour arrêter les migrations irrégulières ou clandestines. Parce que, selon sa présidente nationale Abibatou Ndiaye, «il est reconnu aujourd’hui, que les femmes restent confrontées à d’importants obstacles qui freinent leur participation au développement durable et la migration en est une».
Ce projet, qui s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des projets et programmes du 10e Fed financés par le gouvernement du Sénégal et l’Union européenne à hauteur de 123 191 801 F Cfa, soit 80% du budget global, se veut une contribution à une meilleure gestion des flux migratoires. Mais aussi pour renforcer les dynamiques communautaires des associations et groupements de femmes dans la bataille qu’elle comptent mener contre les phénomènes migratoires tout en posant les grands défis qui interpellent les femmes. «La Fafs veut à travers ce projet contribuer à une harmonisation de la gestion de la migration par la mise en place de stratégies innovantes pouvant stopper la migration et qui renforcent les dynamiques communautaires des associations et groupements féminins dans la lutte contre les phénomènes migratoires irrégulières», ajoute la présidente de la structure.
Mme le ministre d’Etat Aïda Mbodj de préciser que ce phénomène migratoire est une «question d’importance particulière pour le gouvernement sénégalais et pour tout le peuple». Elle ajoute : «Ce phénomène subsiste du fait d’une crise mondiale structurelle et d’une embellie imaginaire de la part de certains migrants qui, de retour au pays, ont pu réussir la construction d’une villa après tant d’années d’absence». Comme première avance, elle leur offre un chèque d’un million de francs.
Ne ratant pas l'occasion de faire dans la campagne, Aïda Mbodj, comme si le Sénégal s'arrêterait après Wade, fait la promesse aux femmes de prendre en charge le projet et de le suivre jusqu’à à son terme, si Abdoulaye Wade se fait réélire en 2012. «Je ne fais pas de chantage mais prions pour que Abdoulaye Wade soit réélu pour que je puisse prendre en charge le personnel», dit-elle aux femmes.
3 Commentaires
Young Girl
En Septembre, 2011 (17:04 PM)Pourquoi ?
En Septembre, 2011 (17:24 PM)Senoccaz.com
En Septembre, 2011 (10:42 AM)Participer à la Discussion