La prévention des violences basées sur le genre a été au centre de deux communications présentées les 5 et 7 mars à New-York par la coordonnatrice du Groupe d’études et de recherches Genre et Sociétés (GESTES) de l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis, Fatou Diop Sall, annonce un communiqué reçu à l’APS.
Ce groupe de recherches exécute en effet, avec l’appui du Centre de recherches pour le développement international (CRDI), une enquête intitulée ''Violences basées sur le genre (VBG) au Sénégal : la prévention comme une alternative aux périls de sécurité et justice''.
''Les techniques d’informations et de communications à travers une plateforme WEB-SMS, selon ce document, sont mises à contribution par ce groupe de recherches pour offrir une fenêtre d’alerte et de prévention des VBG''.
‘’Cette plateforme WEB-SMS permet de collecter les menaces et les témoignages de violence physique, sexuelle et verbale envoyés par email et SMS’’, indique le texte.
Ce projet de recherches, qui entre dans le cadre du programme Gouvernance, sécurité et justice (GSJ) du CRDI, s’intéresse aux sources des violences sociales.
La communication présentée à New-York, où se trouve actuellement Mme Sall, est ''le résultat d’une enquête portant sur les violences faites aux femmes menées à travers le pays''.
Elle avait pour cibles les autorités locales et coutumières, les institutions judiciaires (police, gendarmerie), les institutions sanitaires, etc. pour évaluer l’étendue de la violence contre les femmes.
Une approche inclusive est la voie privilégiée pour combattre les violences basées sur le genre mais le groupe d’étude constate qu’elle passe par une prise en compte des différents acteurs et des institutions impliquées dans la lutte contre les VBG.
Pour une meilleure préventio,n les universitaires ont signé un protocole d’accord avec le Comité de lutte contre les violences faites aux femmes (CLVF) qui œuvre depuis 1996 pour l’éradication de ce phénomène.
AMD/AD
5 Commentaires
Ce Que Je Ne Comprends Pas
En Mars, 2013 (21:02 PM)Gooor
En Mars, 2013 (21:23 PM)Ousmane London
En Mars, 2013 (22:07 PM)Ali
En Mars, 2013 (14:52 PM)Joob Gey
En Mars, 2013 (09:45 AM)ON DIT QUE LES FEMMES VEULENT DIRIGER.
MAIS EST-CE QUE LE PROBLÈME SE TROUVE AU NIVEAU DES HOMMES?
EST-CE EUX QUI LES EMPÊCHENT DE DIRIGER?
MOI, JE ME POSE CETTE QUESTION: EST-CE QUE LES FEMMES FONT CONFIANCE AUX FEMMES?
UNE AUTRE QUESTION: LES FEMMES NE SE SENTENT-ELLES PAS BEAUCOUP PLUS EN SÉCURITÉ DERRIÈRE LES HOMMES?
ON A BEAU THÉORISER N'IMPORTE QUOI SUR L’ÉMANCIPATION DE LA FEMME, LA PARITÉ ET AUTRE, MAIS SI LA NATURE RETOURNE A LA NATURE, LA FEMME SE SENT BEAUCOUP PLUS EN SÉCURITÉ DERRIÈRE L'HOMME.
C'EST CONGÉNITAL.
LA PREUVE, LES FEMMES QUI CONSTITUENT LE GROS DE L’ÉLECTORAT, N'ONT PAS CONFIANCE EN LEURS SŒURS CANDIDATES, MAIS VOTENT POUR LES HOMMES BIEN QUE CEUX-CI ONT MONTRE LEURS LIMITES DEPUIS QU'ILS ONT COMMENCE A DIRIGE.
MATIÈRE A RÉFLEXION…
MA CONCLUSION, UNE FEMME SE SENT BEAUCOUP PLUS EN SÉCURITÉ DERRIÈRE UN HOMME QUE DERRIÈRE UNE FEMME COMME ELLE.
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