Au cours de cette rencontre, l’ombre de feu Abdou Latif Guèye a plané. Ils sont revenus revenir sur les qualités humaines de l’illustre disparu. Le rappel a été fait sur les démarches qu’il avait entreprises auprès du directeur de Plan, Monsieur Ousmane Raymond Sèye pour la tenue de ce séminaire et l’effort d’accompagner les parlementaires dans la démarche envisagée. Des témoignages révèlent que sa volonté était de faire de réseau le important de tous les autres du parlement. Revenant sur des propos toujours tenus par le défunt parlementaire, le président du réseau pour la protection contre les abus et les violences, a insisté sur une intention, un vœu, il s’agit de faire des activités de terrain.
Le Docteur Omar Ndoye, le président du Réseau des parlementaires pour la protection des enfants contre les abus et les violences a, de manière pédagogique, avec des exemples concrets, illustré, les atteintes faites à l’intimité d’enfants violés dans le cadre familial. Pour lui, il faut mettre un terme à cela par un alourdissement des peines qui vont revêtir à partir de ce moment un caractère dissuasif. Il a jugé la sanction de 2 ans infligée souvent comme une peine ne décourageant assez les abuseurs d’enfants.
Pour le Docteur Ndoye, les parlementaires, à travers leur réseau pour la protection des enfants contre les abus et violences vont sillonner le pays et dans ses différents départements pour mener des activités de sensibilisation et de dénonciation de ces types de crimes à l’endroit d’enfants, des sujets très vulnérables. Ils comptent également contribuer ou assurer le soutien des victimes connues.
Il a raconté l’histoire d’une dame de 30 ans violée dès l’âge de 12 ans par son cousin, un fait tu avec la complicité familiale de la victime. Cette dernière abusée plusieurs fois, a aujourd’hui très mal dans sa chair.
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