Cheikh Sidya Bayo, le Président du Conseil national de transition en Gambie pense que les dirigeants de la Cedeao ne doivent pas minimiser la capacité de nuisance de Yaya Jammeh. «Pour l'instant, Yaya Jammeh n'a montré aucun signe d'apaisement ou de consensus.
Connaissant l'homme, il n'a aucune porte de sortie en ce moment. Aussi, nous avons un peu plus de 4.000 soldats dont la plupart d'entre eux ont commis beaucoup de crimes. Donc croyez-vous qu'ils vont déposer les armes», s'est interrogé Cheikh Sidya Bayo à l'émission «Grand Jury» de la Rfm.
Selon lui, il sera très difficile de faire quitter Yaya Jammeh le pouvoir. «Il a défié les émissaires de la Cedeao en leur disant «si vous vous hasardez à m'attaquer... ». Yaya Jammeh se prépare à un affrontement inéluctable. Il ne faut pas sous-estimer ce dont il est capable, dans les trois semaines qui viennent. A cet égard, il va falloir faire très attention parce qu'il est lourdement armé», avertit-il.
24 Commentaires
Anonyme
En Décembre, 2016 (08:41 AM)Anonyme
En Décembre, 2016 (08:44 AM)Second
En Décembre, 2016 (08:53 AM)Anonyme
En Décembre, 2016 (08:53 AM)Fas Diom
En Décembre, 2016 (09:01 AM)Bamba
En Décembre, 2016 (09:17 AM)Anonyme
En Décembre, 2016 (09:20 AM)Contre_l’éjaculation_précoce_le_manque_d’appétit_sexuel_la_faiblesse_due_à_la_mollesse_
ou_la_difficulté_d’avoir_une_érection_ou_de_maintenir_une_érection_l’aspermie_
l’azoospermie_l’oligospermie_la_faiblesse_sexuelle_due_au_diabète._
AGGRANDISSEMENT_de_la_verge_au_bout_d’un_traitement_qui_dure_4_semaines_
et_vous_retrouverez_votre_jeunesse_de_20_ans._Traitement_hémorroïde_interne_et_externe_
par_application_locale_avec_cicatrisation_après_30_jours._
Pour_les_femmes_serre_vagin_à_base_de_bains_quotidien_et_traitement_contre_la_frigidité
Efficaccitégarrantie
Anonymedoumo
En Décembre, 2016 (09:50 AM)prendre le pouvoir ,il devait faire comme les barrow
Gambie- Vexation Des Diolas(gr
En Décembre, 2016 (11:26 AM)« La Casamance en lutte s’alliera à toutes forces, y compris avec le Diable, si cela l’aide à se libérer ». Abbé Diamacoune.
La Gambie est un pays souverain. Elle dispose de lois et de règlements concernant les élections et les procédures s’y efférentes.
Après la reconnaissance de sa défaite, un document officiel de la commission électorale révèle des erreurs dans le décompte des voix. Comme il existe des voies de recours, Jammeh, suivant les dispositions du code électoral de son pays, est en droit de contester, les premiers résultats et de soumettre une requête allant dans le sens de la résolution et/ou la rectification de ces erreurs. Selon le droit international et le principe de souveraineté, seules les instances judiciaires de la Gambie, pas un Etat ou le Conseil de Sécurité, peuvent examiner le contentieux électoral en cours en Gambie.
Sans même attendre l’ouverture d’une procédure allant dans le sens du recomptage ou de la tenue de nouvelles élections, selon la décision éventuelle de la cour suprême, les politiques, les religieux, certains intellectuels sénégalais, en amont comme en aval, avaient et ont exprimé leur enthousiasme de voir Jammeh enfin défait coute que coute.
L’enthousiasme et le désir du Sénégal étaient si débordants qu’il a recouru à la France et peut être, à l’Angleterre ( puisqu’ elle n’a pas, comme la France, l’habitude de se mêler des crises internes des autres Nations) pour la rédaction du texte du conseil de sécurité (puisque tous les textes du conseil de sécurité sont proposés par les ambassadeurs en poste à l’ONU des ex puissances coloniales : preuve que la France représente les africains francophones au concert des Nations pourtant censées indépendantes) Sa position de membre non permanent au conseil de sécurité ne lui donne même pas le droit de rédiger un texte de condamnation ou de résolution.
Mieux, il a saisi la CDEAO dont les capacités d’intervention militaire et politique sont si ridicules et incohérentes, que partout où elle s’est déployée, c’est le fiasco, le statu quo qui s’instaure. Ce dans un contexte d’instabilité quasi générale de la sous-région faisant face à toutes sortes d’insurrections, notamment islamistes et citoyennes, que le Sénégal envisage une opération militaire.
Que la Gambie et Jammeh sachent que les handicaps et incapacités de la CEDEAO ne feront que révéler le côté bluff de toute menace. Son armée en alliance avec celle de la Casamance en lutte sont en mesure de mettre en déroute toute opération militaire sénégalaise. Car de par son zèle, le Sénégal prendra le devant de toute force intervenant en Gambie et donc en Casamance.
Le comble et la dérive, c’est l’ethnicisation doublée de la confessionnalisation, tout au moins la confrérisation de la crise en Gambie. Il apparait au fil des jours que Monsieur Barrow est un talibé mouride qui travaillera à l’implantation de cette confrérie dans l’Etat gambien, et au sein de la société gambienne qui rejette, à travers Jammeh, le système de Ndigel et d’un islam wolof, dont la prétention à la conversion des ethnies de la Gambie et de la Casamance est un secret de polichinelle.
En sourdine, pourtant, les politiques se sont démasquer enfin, simplement en dévoilant leurs obsessions ethno politiques contre Jammeh : de nombreux coups d’état rates en sont la preuve ; et aujourd’hui le discours du gouvernement, des religieux Tidiane toucouleur comme mouride visent à exposer leurs soutiens à Barrow, simplement parce qu’il est mouride et/ou toucouleur.
Il parait que Macky Sall, le Président de la république laïque du Sénégal lui a parlé en Harpular, lors de son coup de fil de félicitations. La haine ethno politique du Sénégal vis-à-vis de Jammeh n’est pas à exclure de la question de la Casamance. Cette haine se poursuit jusqu’ en Casamance, et ce depuis belle lurette. A titre d’exemple et de rappel, au commencement du conflit en Casamance, le Sénégal avait arme des nordistes pour saboter le réveil des peuples de la Casamance ; d’où la mort d’un certain Kounta.
Que faire, lorsqu’ une ethnie est prise pour cible sur le plan politique et confrérique ? Il faut qu’elle se défende et, par instinct de survie, qu’elle se protège, en construisant la contre alliance appropriée pour sa survie. Les Joola ne doivent pas avoir le complexe d’assumer leur identité et leur spécificité, leur engagement et leur vie tout court. Nous devons, nous casamançais, savoir que les luttes politiques sont d’abord culturelles, en ce sens que l’enjeu, c’est la suppression ou la résistance des narratifs fondateurs de l’envahisseur et du résistant.
C’est pourquoi, ils doivent, car la loi fondamentale de tout rapport entre peuples et civilisations entre cultures, c’est le rapport de force, prendre leurs dispositions requises. C’est ce qui détermine l’avenir des peuples et leurs capacités à défendre leurs intérêts. Nous devons nous poser la question existentielle suivante : dans des situations de crises, de questionnements, d’incertitudes, où et quelles sont les intérêts supérieurs de la Casamance en lutte ?
Ceci dit, la cause défendue par le Mfdc et la Casamance n’est pas ethnique. Si jusqu’ à ce moment des communiqués partisans et militants ne sont pas diffuses, c’est en raison du piège de l’ethnicisation dans lequel voudrait nous entrainer le Sénégal.
Mais aussi, pour signifier aux frères gambiens de toutes ethnies confondues que nous n’entendons pas soutenir Jammeh sur la base de son appartenance joola, mais pour des raisons hautement géostratégiques, et que le Mfdc ne s’impliquera jamais dans des folies génocidaires de quelque bord qu’elles viennent.
Nous devons tous apprendre de nouveau que la question de la Casamance est un enjeu géostratégique de la sous-région. Sa résolution est un impératif, et c’est l’occasion pour nous casamançais de le rappeler à la communauté internationale et à la CDEAO, rompant ainsi le secret dont la diplomatie sénégalaise l’a toujours entourée. La crise post-électorale en Gambie, la haine ethno politique de certains sénégalais contre les Joola, le contexte insurrectionnel marquant la sous-région, devraient recommander la communauté internationale á la retenue et au traitement ouvert de la question de la Casamance.
Que ce soit Barrow ou Jammeh, tant que la question de la Casamance, n’est pas, pour une fois pendant plusieurs décennies d’étouffement, sur la table des discussions de la CEDEAO, voire des Nations Unies, la sous-région ne connaitra pas de stabilité. Parce que le Mfdc et la Casamance en lutte dispose du principal moyen d’instauration du rapport de force dans le jeu géostratégique : une armée de libération, une vision et un projet de rupture sur tous les plans.
Or, l’Afrique de l’Ouest est en proie au Djihadisme, de même que l’islam non confrérique que la Gambie a connu sous Jammeh risque d’affronter l’islam des confréries dont le Sénégal par ces temps de radicalisation fait la promotion. Ainsi, les risques de confessionnalisation de la crise que la Casamance en lutte ne souhaite pas, pourrait-être une réalité.
Une solution pacifique à la crise postélectorale, incluant la question de la Casamance est celle que la sagesse nous recommande d’envisager dans les meilleurs délais.
J’appelle les élites casamançaises, les forces vives de la Casamance, les religieux de la Casamance soucieux de bâtir un islam casamançais non confrérico wolof ou toucouleur, d’ouvrir un vrai processus de règlement politique du conflit nous opposant à l’Etat du Sénégal, de répondre coups sur coups au Sénégal, dans sa logique mal propre et quasi passionnelle d’évincer, non pas un gambien politique, mais un Joola. Restons vigilants.
Dr. Ahmed Apakena Diéme, consultant indépendant, membre du CIU du Mfdc Bonn/RF
Anonyme
En Décembre, 2016 (12:36 PM)Anonyme
En Décembre, 2016 (12:42 PM)Anonyme
En Décembre, 2016 (13:33 PM)Anonyme
En Décembre, 2016 (17:15 PM)Solutio= Aviation
En Décembre, 2016 (17:28 PM)Pareille pour yayah qui avec l'aide de l'aviation francaise va etre bombarder en moins d'une heure de temps je vous assure qu'il ne restera rien de on arsenal et Kanilai va disparaitre de la carte de la Gambie. Barrow fera de Kanilai un Parc Zoologique
Bassirou
En Décembre, 2016 (17:39 PM)Heucha
En Décembre, 2016 (19:29 PM)Anonyme
En Décembre, 2016 (20:12 PM)Anonyme
En Décembre, 2016 (20:12 PM)Anonyme
En Décembre, 2016 (21:06 PM)Anonyme
En Décembre, 2016 (10:56 AM)Alors attaquez jammet le senegal vous verez les vrais couleurs du babili mansa¡
Anonyme
En Décembre, 2016 (22:33 PM)Le Gabou deviendra indépendant finalement du Mali; dans cette partie de l'Afrique, de ce qui deviendra le Sénégal et la Guinée Bissau il n'y avait que le GABOU, dominé par les Mandingues et le FOULADOU dominé par les Peuls. Les Joolas n'ont jamais fondé un Etat. Ils vivaient de la cueillette et de la chasse dans la jungle.
Anonyme
En Décembre, 2016 (12:30 PM)Hawa
En Décembre, 2016 (15:04 PM)sénégalais mo meuna wérénté
sénégalais mo meuna fènn
Patriote
En Janvier, 2017 (20:49 PM)Participer à la Discussion