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Un lieutenant perd ses moyens sur le plateau de la télévision publique gabonaise -Regardez

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Un lieutenant perd ses moyens sur le plateau de la télévision publique gabonaise -Regardez

Insolite. Alors qu'il était venu sur le plateau de la télévision publique gabonaise pour une importante communication de service, ce lieutenant du prytanée militaire, a perdu l'ensemble de ses moyens ce 23 mai au plateau du 20h. Le lieutenant a coupé court sa lecture du communiqué en se fendant en anaphores : "oh... je suis foutu" , "oh... je suis mort". Une vraie pépite !



12 Commentaires

  1. Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2016 (14:11 PM)
    Mais il a vu quoi  :question: 
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  2. Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2016 (14:58 PM)
    Il s est rendu compte que sa carrière est foutue . Il ne devait pas parler de greve des autres etablissements . Aly Bongo n aime pas ça

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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2016 (14:58 PM)
    Tellemen con comment vous pouvez diffusé ca
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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2016 (15:28 PM)
    C' est pas grave mon lieutenant
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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2016 (15:31 PM)
    Ceci prouve que la liberte d'expression est tjr hospitalisee en urgence. On lui a pourtant dit d'eviter de prononcer les greves qui paralysent le Gabon, mais comme vous savez, la verite c'est comme la fumee, l'empecher de sortir n'est pas une tache facile. Mon Lt, vous avez dit la verite et puis si tu meurs ou expulse, nous allons marcher jusqu'au palais d'Ali Bongo.

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    Auteur

    Liberte, Egalite, Fraternite

    En Mai, 2016 (16:23 PM)
    SANT YALLAH BOU BAKH D'etre Senegalais et de vivre au Senegal ou je peux meme me permettre de crier a longueur de journee et sur tous les toits que " DEUK BI DA FA MACKY" sans craindre des represailles.

    Merci mon Dieu d'avoir fait de moi un Senegalais et de vivre dans un pays ou " on prefere la liberte dans la pauvrete a l'opulance dans la soumission et la peur."
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    Auteur

    Diarrhee

    En Mai, 2016 (17:06 PM)
    IL A FAIT CACA DANS SON PANTALON
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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2016 (17:25 PM)
    Ce n'est pas un Officier ca,avec ces deux macarons.....Republique Banania,armee Banania
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    Auteur

    Jambaar

    En Mai, 2016 (21:12 PM)
    ils sont minable les Officiers! o moins il a le courage d'aller devant la télé but ceux du Sénégal c les plus grands lèche cue .

     :emoshoot:  :sunugaal:  :taala_sylla: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2016 (23:00 PM)
    Non c'etait une dhiarree passagere.le lieutenant n'a pas pu s'empecher de gater le coin.. du moins le pantalon. Lieutenant il faut faire vos besoins d'abord avant de deblaterer... :contaan: 
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    Auteur

    Trac

    En Mai, 2016 (07:13 AM)
    C'est tout simplement le trac...Moi même cela m'est arrivé une fois dans un mariage où on m'a donné la parole et j'avais presque le souffle coupé, je tremblotais je perdais mes mots dans une incohérence de propos incroyables, je me répétais comme un con incapable d'avoir une ligne directrice dans mon discours je suais à grosses gouttes. J'avais l'impression d'être assis sur un pot de chambre et que tout le monde me regardait
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    Auteur

    Vérité

    En Mai, 2016 (09:14 AM)
    À la vérité et selon des sources du ministère de la Défense nationale, la phrase dans «un environnement épargné des grèves» figurait dans la première mouture du communiqué. Elle a ensuite été ôtée du fait qu’elle pouvait laisser penser à l’entretien par le pouvoir d’une école gabonaise à deux vitesses : l’une avec grèves, l’autre sans. Il se trouvait cependant que le lieutenant Moussodji avait mémorisé son texte avant que cette phrase ne soit interdite. L’émotion et la pression du plateau de la télévision ont fait rejaillir la phrase interdite. Conséquence : Fustel Marien Moussodji a perdu ses moyens avant d’être sujet à une hausse de tension artérielle ayant amené à l’interner à l’Hôpital d’instruction des armées Omar Bongo Ondimba, communément appelé Hôpital militaire de Melen.



    Les mêmes sources militaires indiquent qu’il est encore sous surveillance médicale (à son domicile) et qu’il ne fera l’objet d’aucune sanction. Par contre, pour n’avoir pas respecté les procédures édictées par le ministère de la Défense concernant la communication autour des actions des Forces armées gabonaises, le commandant Eric Ivala, directeur du Prytanée Militaire, a écopé d’une suspension de ses fonctions et a aussitôt été remplacé par son adjoint, le commandant Makaga.
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