Après un été très agité qui a notamment vu le joueur faire le forcing pour changer d'air, les relations entre la direction romaine et Diao Baldé se sont améliorées et l'international sénégalais a réussi à regagner la confiance de ses dirigeants.
Performant depuis son retour à la compétition, tant en club qu'en équipe nationale, le jeune attaquant a convaincu la Lazio de passer l'éponge sur les incidents qui se sont produits lors du dernier mercato estival et de lui proposer une prolongation de contrat. Une chose encore inimaginable en début de saison tant les relations entre les deux parties s'étaient détériorées.
Evidemment, qui parle de prolongation de contrat au haut niveau, parle également de revalorisation salariale. Une nouvelle qui tombe bien puisque la pépite sénégalaise, qui gagnerait actuellement un peu plus d'un demi-million d'euros (325.000.000 francs Cfa) et qui souhaiterait voir son salaire triplé sur une durée de cinq (5) saisons, avec une clause libératoire au cas où un grand club serait prêt à le recruter. En attendant un éventuel accord, Diao Baldé Keïta reste lier à la Lazio jusqu'en 2017.
8 Commentaires
Anonyme Tonton
En Octobre, 2016 (17:12 PM)Thiou
En Octobre, 2016 (17:24 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (17:40 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (18:41 PM)ki dal niémé wouma ko !!!
goré woul dara
khéssal , lèvre noir , démarche nonchalante et quoi encore
Anonyme
En Octobre, 2016 (19:35 PM)La Société nationale d’électricité du Sénégal (Senelec), très tenaillée par le cours du pétrole sur le plan international, est en passe de trouver une alternative bien de chez nous. L’exploitation locale du gaz méthane capable d’alimenter les turbines de l’entreprise d’électricité, constitue un motif sérieux d’espoir en vue de réduire ses charges. Les potentialités du bloc de Tamna poussent ainsi les techniciens à l’envisager comme une alternative à la forte demande en fioul lourd de la Senelec. Le projet que mène Petrosen et son partenaire la société Nord américaine Fortesa International dans le département de Tivaouane (sous préfecture de Pambal, région de Thiès) présente des résultats jugés positifs. Le ministre de l’Energie, Samuel Amète Sarr, au terme d’une visite de terrain effectuée ce lundi 26 mai, a fait savoir que : « entre janvier 2007 et mars 2008, les travaux d’exploration ont abouti à quatre nouveaux forages ».
Selon lui, les résultats positifs, qui en ont résulté, ont permis de passer d’un puits producteur de gaz de 30 mille mètres cube/jour pour alimenter une turbine à gaz, à la production, désormais, d’un débit de 300 mille mètres cube/jour. A son avis, la mise en production des six puits permettra d’alimenter, deux turbines à gaz de 20 MW pendant 24 heures, soit des économies de plus de 100 mille tonnes/an de fioul, ce qui présente un quart des besoins en combustibles lourds de la Senelec. Sur cette lancée, le directeur général de la Senelec, Lat Soukabé Fall, confirme : « avec le gaz méthane, les possibilités d’économie sont de l’ordre de 40 % par rapport au Diesel ».
Reste à connaître l’issue des discussions menées depuis le mois de mars dernier entre la Senelec et Petrosen qui doit lui fournir ce gaz à un coût compétitif. Le directeur général de la Senelec qui évoque l’impact positif de l’utilisation du gaz à la place du diesel pour le fonctionnement des turbines, fait part de l’ambition de la société d’électricité d’étendre l’utilisation de gaz au niveau de la production privée à travers, par exemple la Gti.
Quant au directeur général de Petrosen, Djibril Mamadou Kanouté, il juge l’utilisation du gaz méthane « plus que bénéfique notamment sur le plan environnemental ». Selon lui, « le gaz méthane ne dégage pas de fumée, contrairement au diesel, les coûts d’entretien s’en retrouvent diminués et son stockage ne pose pas de problème. »
Suffisamment de gaz pour douze ans
Le ministre de l’Energie fait savoir que les techniciens de Petrosen et de Fortesa estiment qu’il y aurait suffisamment de réserves de gaz dans la zone, pour une production continue sur une période d’environ douze ans. A son avis, « avec la poursuite du programme d’exploitation et de développement prévu dans les années à venir, la production journalière de ce nouveau champ de gaz pourrait être doublée ». Et d’ajouter que dans la partie offshore, Petrosen et ses associés Tullow Oil, compagnie irlandaise, et Dana Petroleum, compagnie britannique, viennent de boucler une importante campagne sismique 3 D d’un coût de 12 millions de dollars Us, dans le bloc de Saint-Louis offshore. A l’en croire, il a récemment reçu en audience les responsables de ces compagnies pétrolières, pour leur transmettre les attentes du gouvernement relatives à l’accélération des travaux de traitement et d’interprétation des données de ladite campagne sismique afin de parvenir, très rapidement, « à la fixation d’objectifs techniques, et à la réalisation d’un forage d’exploration ».
Le ministre de l’Energie de rappeler la campagne sismique 3D réalisée en début année 2007, dans le bloc de Rufisque profond par Petrosen et ses associés que sont la compagnie pétrolière italienne Edison Spa et la brésilienne Petrobras, réputée leader dans les forages en eaux profondes. Samuel A. Sarr a affirmé que ces compagnies ont terminée le traitement et l’interprétation des données recueillies qui, à l’en croire, « révèlent la présence d’une dizaine de gisements probables d’hydrocarbures prometteurs, dont l’un des plus importants aurait une superficie de plus de 200 kilomètres carrés ». Et de confier : « la décision a été prise d’explorer ce gisement probable d’hydrocarbures par un forage ». Dans ce cadre, a ajouté le ministre de l’Energie, « une réunion est prévue à ce sujet, le mois prochain au Brésil ».
Sur cette liste de campagne sismique 3 D, s’ajoute celle faite dans le bloc de Rufisque offshore et Sangomar offshore par Petrosen et ses associés dont la nord américaine Hunt Oil et l’australienne First Australian Ressources. Selon lui, ces compagnies ont terminé le traitement et l’interprétation des données recueillies, qui ont confirmé la présence d’intéressants prospects (gisements probables), dont le plus important pourrait avoir des réserves de l’ordre d’un milliard de baril de pétrole.
Le regain d’intérêt des compagnies pétrolières internationales à l’égard du Sénégal s’expliquerait par les potentialités que présente le bassin sédimentaire. A en croire, le ministre de l’Energie, actuellement, sept blocs sur les dix-neuf que compte le bassin sédimentaire sénégalais, font l’objet de contrat de recherche et de partage de production d’hydrocarbures entre l’État et huit compagnies pétrolières étrangères, en association avec Petrosen. Dans cette dynamique, il a résumé le soutien de l’État dans la recherche pétrolière par « l’amélioration de l’environnement législatif et réglementaire, de manière à rendre notre bassin toujours attractif pour les investisseurs ».
Bakary DABO | SUD QUOTIDIEN
Solide19
En Octobre, 2016 (20:54 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (21:28 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (08:00 AM)Participer à la Discussion