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20 Commentaires
Avis
En Avril, 2016 (15:33 PM)Max
En Avril, 2016 (15:59 PM)Anonyme
En Avril, 2016 (16:07 PM)Anonyme
En Avril, 2016 (16:18 PM)Anonyme Taphisco
En Avril, 2016 (17:22 PM)Qui connait un Profi qui vend agglos, briques vibrées sans intermédiaires véreux et cupides. ou une unité industrielle qui fabrique les fabrique.
je promets une forte récompense pour quiconque qui peut me mettre en contact avec un fabriquant de briques vibrées,.
Senegal En Danger
En Avril, 2016 (17:24 PM)Anonyme
En Avril, 2016 (18:13 PM)Italy
En Avril, 2016 (19:12 PM)Dilate La Rate
En Avril, 2016 (20:48 PM)Anonyme
En Avril, 2016 (20:59 PM)Témoin Apolitique
En Avril, 2016 (22:28 PM)Pour les étrangers, il faut emprisonner les maîtres (les dégoûter à vie de ce Sénégal -aubaine et laisser-aller-) et rendre les enfants à leurs parents (à tancer et à décourager à jamais) sur le champ.
Avez-vous déjà vu les petits talibés greloter durant le froid ou traîner le soir tard pour pouvoir compléter leur ‘versement’ avant d’OSER rentrer ? Que peut-on attendre de maîtres coraniques ayant vécu les mêmes conditions, sans psychologie et sans pédagogie et comme si l’enseignement était inné ?
En attendant, aucune subvention ne devra plus être octroyée à un dahra dont les pensionnaires n’ont pas été régulièrement inscrits à l’état-civil et dont les programmes et conditions d’hébergement n’ont pas été approuvés (comme pour les écoles classiques dites françaises) par les services compétents de l’Etat et de l’UNICEF. Nous sommes dans un état de droit et tous les citoyens doivent être régis par les mêmes lois et règlements pour garantir l’égalité et une paix durable pour tous.
L'arabe et le coran peuvent et doivent être intégrés dans les programmes scolaires et universitaires (pour relever les niveaux, retenir nos enfants autant faire se peut et créer par la même occasion de grands islamologues au cursus relevé et sûr, échappant au joug des jihadistes aux techniques de recrutements très sournoises) comme le catéchisme et le latin pour les catholiques, pour :
. couper court à cette fuite en avant de ministres de l’éducation, de députés, d’enseignants ou d’anciens talibés marqués à vie, mais si frileux et négatifs pour braver ce ‘désordre’ si bien établi ;
. pouvoir éradiquer ce sacrifice d’enfants qui n’ont même pas demandé à naître et qui n’ont que des droits au moment où leurs parents les oublient entre les mains d’ex-victimes irresponsables ayant subi les mêmes sévices et qui n’ont plus le plus souvent qu’une ‘pierre à la place du cœur’ et ;
. arrêter de créer ainsi une catégorie de citoyens (aigris et nécessiteux à l’esprit obtus, futures recrues de gourous nationaux et internationaux) écartés de toute civilisation générale mondiale.
Ce serait radical et plus personne n'aurait rien à dire, comme ce qui se passe actuellement avec la Gambie. IL FAUT SAVOIR REGLER LES PROBLEMES RECURRENTS (RETARDS DE BOURSES, D’ORIENTATIONS, DE PAIEMENT DE PRIMES, DE RAPPELS, D’ENTRETIEN ET DE RENOUVELLEMENT D’INSTALLATIONS ELECTRIQUES, DE CHANGEMENT PERIODIQUE DE PIECES POUR L’ADDUCTION D’EAU, ETC… –QUAND FAUT Y ALLER…- ET EVITER D’ETRE VRAIMENT DES MEDECINS APRES LA MORT) D’UNE MANIERE DEFINITIVE POUR POUVOIR PASSER A L’ESSENTIEL (SANTE, EDUCATION, EMPLOIS, EAU, ELECTRICITE, ETC…, DEVELOPPEMENT HARMONIEUX ET PAIX DURABLE). Coolement. A TEMPS, SINON COMMUNIQUER et FRANCHEMENT ALORS.
Au Sénégal, il faut savoir de temps en temps, après avoir maîtrisé (au sens propre comme au figuré) les différentes sensibilités, agir en goréen ou ‘dùsu’ pour arrêter les parlottes coupables de bien de dérives et de contre-offensives néfastes à la réalisation de projets utiles à la société.
Le Président de la République et le gouvernement (avec l’aide de leurs conseillers –pléthoriques et souvent inutiles ou sous-employés-) doivent savoir anticiper sur les solutions idoines aux cas qui pourraient à terme, constituer :
. des crimes contre l’humanité et/ou ;
. des causes de radicalisations diverses ou des poudrières :
.. étudiants (bourses, orientations, professeurs absentéistes ou sadiques),
.. enseignants (primes, rappels, indemnités normales à niveler avec les autres corps avec langage de vérité et fermeté),
.. corps médical (niveaux rémunérations correspondants aux niveaux de formations et de risques),
.. agriculture, secteur informel non rentable ou saturé, ex-détenus et ambulants professionnels (volontariat et retour au bercail après déblaiement de terres cultivables à grande échelle et subventions, dons-soutiens-encadrement, financements-hypothèques sur terrains pour l’année de démarrage),
.. détenus (psychologue, récupération familiale et formation adéquate),
.. femmes rurales, jeunes déscolarisés et filles-mères (encadrement-formation et financements adaptés),
.. etc…
Tout cela est COLOSSAL et indispensable, mais pas impossible et ô combien salvateur pour surtout tous ces laissés-pour-compte qui ont besoin d’un coup de pouce pour ‘émerger’ et s’y retrouver).
Ils doivent quand même faire preuve de plus de plus de guiss-guiss et de diligence dans le traitement des nombreuses urgences qui les interpellent au quotidien, sans oublier les prévisions normales à gérer rigoureusement.
Je pense que les conseillers devraient pouvoir aider à auditer les ministères et directions rattachées, par secteurs et par groupes, pour des recrutements objectifs à mêmes de relever leur efficience et pour contrôler les objectifs qui leur sont assignés, avec des vraies prérogatives (cas Pr Amsatou Sow Sidibé), pour également libérer le premier ministre et le président de la république qui sont souvent obligés de monter au créneau pour diverses raisons et pour rattraper surtout des erreurs et trajectoires complètement dévoyées.
Les présidents de conseil d’administration, différents élus, ministres et directeurs de société nationale, comme le sénégalais lambda, ont tendance à oublier, dès qu’ils durent dans une fonction, prennent du galon et/ou ont reçu les éloges du président, le pourquoi de leur nomination-élection, le dévouement qu’il doit au peuple sénégalais et les objectifs à eux assignés. Ils prennent alors les sénégalais pour des sujets et deviennent inaccessibles, tout en versant dans les tares de notre société (abus divers : femmes et maîtresses, parrainages et cérémonies folkloriques entraînant le mimétisme et les gâchis, ‘màttey’ et ‘m’as-tu vu’, détournements d’objectifs et de budgets, véhicules-missions-carburant-téléphone-mobilier-logements gérés sans parcimonie, recrutements subjectifs injustes notoires, manque de respect et utilisation des forces de sécurité et des société de services d’une manière abusive et de sorte à leur faire rater leurs objectifs, accaparement ou mauvaise distribution d’avantages destinés aux indigents, recherche de prestige démesuré, cour de ‘répondeurs automatiques’ énervants et serviles qui finissent par avoir le vrai pouvoir, horde de maraboutillons et griots manipulateurs, etc… ). Y’a de quoi vouloir se barricader pour échapper à tous ces ‘chasseurs’ et laudateurs aguerris et bien armés sur tous les plans. ‘Woyy’
De grâce, aucune fonction n’est obligatoire. Il faut savoir passer la main quand on ne peut ou ne veut plus. Les compétences existent (une personne = 1 mandat ou fonction) et des ‘karim’ super-pouvoiriste, on n’en veut plus. NOS MAMANS SONT NOIRES ET TOUTES MERITANTES ET NOUS SAVONS RESPECTER NOS CONGENERES ET RESTER A NOS PLACES et c’est tant mieux pour notre futur.
Malgré tout, je crois en nos grands serignes si indulgents et océans de savoir, avec mes deux préférés (Mame Abdou et Serigne Saliou qui m’avait choisi, sans oublier Serigne Cheikh l’Intellectuel raffiné et fin, et Thierno BA l’avocat des femmes).
ENTRE NOUS.
------------------------------------------------------
Coucou, me revoilà.
Je ne fais pas de politique et ma plume reste ma seule possibilité, après mon travail et mes tentatives d’être un bon citoyen du monde et ambassadeur du Sénégal où que je sois, pour contribuer à la paix et à un développement harmonieux de notre cher Sénégal.
Les ‘niaxtu’ pour faire cesser les conseils-avis-contributions (et rien d’autre) sur tout de citoyens apolitiques et sans tribune constituent des velléités ou des ruses pour museler tous ceux qui veulent contourner les canaux classiques qui ont montré leurs limites et pièges, et veulent partager et coucher sur papier leurs pensées participatives. ‘BOKK CI, BËGG LENN TE BAGN SETAANN’. De tout temps, le fort du Sénégal a toujours été la prévention jusqu’à influer sur la conscience collective et provoquer un flot de prières jusqu’à neutraliser toute menace imminente.
J’ai personnellement adopté cette forme d’expression passive, sans arrière-pensées ni intérêts personnels, version personne physique indépendante, pour éviter certaines pratiques tape-à-l’œil de médias ou de politiciens ou de sociétés civiles ou d’individus, maîtres-chanteurs malins et filous qui utilisent certains raccourcis vils, pour des postes, des avantages ou de l’argent, comme qui dirait ‘faire l’âne pour avoir du son’.
Je respecte mon pays, mon président et toutes les institutions ainsi que tous les sénégalais valeureux et épris de justice qui cherchent à servir ‘SUNU GAAL’ avec UN PEUPLE, UN BUT et UNE FOI.
Vive le Sénégal, havre de paix et terre d’islam.
Fraternellement vôtre.
Anonyme
En Avril, 2016 (23:56 PM)Anonyme
En Avril, 2016 (11:37 AM)Témoin Apolitique
En Avril, 2016 (14:38 PM)Pour les étrangers, il faut emprisonner les maîtres (les dégoûter à vie de ce Sénégal -aubaine et laisser-aller-) et rendre les enfants à leurs parents (à tancer et à décourager à jamais) sur le champ.
Avez-vous déjà vu les petits talibés greloter durant le froid ou traîner le soir tard pour pouvoir compléter leur ‘versement’ avant d’OSER rentrer ? Que peut-on attendre de maîtres coraniques ayant vécu les mêmes conditions, sans psychologie et sans pédagogie et comme si l’enseignement était inné ?
En attendant, aucune subvention ne devra plus être octroyée à un dahra dont les pensionnaires n’ont pas été régulièrement inscrits à l’état-civil et dont les programmes et conditions d’hébergement n’ont pas été approuvés (comme pour les écoles classiques dites françaises) par les services compétents de l’Etat et de l’UNICEF. Nous sommes dans un état de droit et tous les citoyens doivent être régis par les mêmes lois et règlements pour garantir l’égalité et une paix durable pour tous.
L'arabe et le coran peuvent et doivent être intégrés dans les programmes scolaires et universitaires (pour relever les niveaux, retenir nos enfants autant faire se peut et créer par la même occasion de grands islamologues au cursus relevé et sûr, échappant au joug des jihadistes aux techniques de recrutements très sournoises) comme le catéchisme et le latin pour les catholiques, pour :
. couper court à cette fuite en avant de ministres de l’éducation, de députés, d’enseignants ou d’anciens talibés marqués à vie, mais si frileux et négatifs pour braver ce ‘désordre’ si bien établi ;
. pouvoir éradiquer ce sacrifice d’enfants qui n’ont même pas demandé à naître et qui n’ont que des droits au moment où leurs parents les oublient entre les mains d’ex-victimes irresponsables ayant subi les mêmes sévices et qui n’ont plus le plus souvent qu’une ‘pierre à la place du cœur’ et ;
. arrêter de créer ainsi une catégorie de citoyens (aigris et nécessiteux à l’esprit obtus, futures recrues de gourous nationaux et internationaux) écartés de toute civilisation générale mondiale.
Ce serait radical et plus personne n'aurait rien à dire, comme ce qui se passe actuellement avec la Gambie. IL FAUT SAVOIR REGLER LES PROBLEMES RECURRENTS (RETARDS DE BOURSES, D’ORIENTATIONS, DE PAIEMENT DE PRIMES, DE RAPPELS, D’ENTRETIEN ET DE RENOUVELLEMENT D’INSTALLATIONS ELECTRIQUES, DE CHANGEMENT PERIODIQUE DE PIECES POUR L’ADDUCTION D’EAU, ETC… –QUAND FAUT Y ALLER…- ET EVITER D’ETRE VRAIMENT DES MEDECINS APRES LA MORT) D’UNE MANIERE DEFINITIVE POUR POUVOIR PASSER A L’ESSENTIEL (SANTE, EDUCATION, EMPLOIS, EAU, ELECTRICITE, ETC…, DEVELOPPEMENT HARMONIEUX ET PAIX DURABLE). Coolement. A TEMPS, SINON COMMUNIQUER et FRANCHEMENT ALORS.
Au Sénégal, il faut savoir de temps en temps, après avoir maîtrisé (au sens propre comme au figuré) les différentes sensibilités, agir en goréen ou ‘dùsu’ pour arrêter les parlottes coupables de bien de dérives et de contre-offensives néfastes à la réalisation de projets utiles à la société.
Le Président de la République et le gouvernement (avec l’aide de leurs conseillers –pléthoriques et souvent inutiles ou sous-employés-) doivent savoir anticiper sur les solutions idoines aux cas qui pourraient à terme, constituer :
. des crimes contre l’humanité et/ou ;
. des causes de radicalisations diverses ou des poudrières :
.. étudiants (bourses, orientations, professeurs absentéistes ou sadiques),
.. enseignants (primes, rappels, indemnités normales à niveler avec les autres corps avec langage de vérité et fermeté),
.. corps médical (niveaux rémunérations correspondants aux niveaux de formations et de risques),
.. agriculture, secteur informel non rentable ou saturé, ex-détenus et ambulants professionnels (volontariat et retour au bercail après déblaiement de terres cultivables à grande échelle et subventions, dons-soutiens-encadrement, financements-hypothèques sur terrains pour l’année de démarrage),
.. détenus (psychologue, récupération familiale et formation adéquate),
.. femmes rurales, jeunes déscolarisés et filles-mères (encadrement-formation et financements adaptés),
.. etc…
Tout cela est COLOSSAL et indispensable, mais pas impossible et ô combien salvateur pour surtout tous ces laissés-pour-compte qui ont besoin d’un coup de pouce pour ‘émerger’ et s’y retrouver).
Ils doivent quand même faire preuve de plus de plus de guiss-guiss et de diligence dans le traitement des nombreuses urgences qui les interpellent au quotidien, sans oublier les prévisions normales à gérer rigoureusement.
Je pense que les conseillers devraient pouvoir aider à auditer les ministères et directions rattachées, par secteurs et par groupes, pour des recrutements objectifs à mêmes de relever leur efficience et pour contrôler les objectifs qui leur sont assignés, avec des vraies prérogatives (cas Pr Amsatou Sow Sidibé), pour également libérer le premier ministre et le président de la république qui sont souvent obligés de monter au créneau pour diverses raisons et pour rattraper surtout des erreurs et trajectoires complètement dévoyées.
Les présidents de conseil d’administration, différents élus, ministres et directeurs de société nationale, comme le sénégalais lambda, ont tendance à oublier, dès qu’ils durent dans une fonction, prennent du galon et/ou ont reçu les éloges du président, le pourquoi de leur nomination-élection, le dévouement qu’il doit au peuple sénégalais et les objectifs à eux assignés. Ils prennent alors les sénégalais pour des sujets et deviennent inaccessibles, tout en versant dans les tares de notre société (abus divers : femmes et maîtresses, parrainages et cérémonies folkloriques entraînant le mimétisme et les gâchis, ‘màttey’ et ‘m’as-tu vu’, détournements d’objectifs et de budgets, véhicules-missions-carburant-téléphone-mobilier-logements gérés sans parcimonie, recrutements subjectifs injustes notoires, manque de respect et utilisation des forces de sécurité et des société de services d’une manière abusive et de sorte à leur faire rater leurs objectifs, accaparement ou mauvaise distribution d’avantages destinés aux indigents, recherche de prestige démesuré, cour de ‘répondeurs automatiques’ énervants et serviles qui finissent par avoir le vrai pouvoir, horde de maraboutillons et griots manipulateurs, etc… ). Y’a de quoi vouloir se barricader pour échapper à tous ces ‘chasseurs’ et laudateurs aguerris et bien armés sur tous les plans. ‘Woyy’
De grâce, aucune fonction n’est obligatoire. Il faut savoir passer la main quand on ne peut ou ne veut plus. Les compétences existent (une personne = 1 mandat ou fonction) et des ‘karim’ super-pouvoiriste, on n’en veut plus. NOS MAMANS SONT NOIRES ET TOUTES MERITANTES ET NOUS SAVONS RESPECTER NOS CONGENERES ET RESTER A NOS PLACES et c’est tant mieux pour notre futur.
Malgré tout, je crois en nos grands serignes si indulgents et océans de savoir, avec mes deux préférés (Mame Abdou et Serigne Saliou qui m’avait choisi, sans oublier Serigne Cheikh l’Intellectuel raffiné et fin, et Thierno BA l’avocat des femmes).
ENTRE NOUS.
------------------------------------------------------
Salut,
Je ne fais pas de politique et ma plume reste ma seule possibilité, après mon travail et mes tentatives d’être un bon citoyen du monde et ambassadeur du Sénégal où que je sois, pour contribuer à la paix et à un développement harmonieux de notre cher Sénégal.
Les ‘niaxtu’ pour faire cesser les conseils-avis-contributions (et rien d’autre) sur tout de citoyens apolitiques et sans tribune constituent des velléités ou des ruses pour museler tous ceux qui veulent contourner les canaux classiques qui ont montré leurs limites et pièges, et veulent partager et coucher sur papier leurs pensées participatives. ‘BOKK CI, BËGG LENN TE BAGN SETAANN’. De tout temps, le fort du Sénégal a toujours été la prévention jusqu’à influer sur la conscience collective et provoquer un flot de prières jusqu’à neutraliser toute menace imminente.
J’ai personnellement adopté cette forme d’expression passive, sans arrière-pensées ni intérêts personnels, version personne physique indépendante, pour éviter certaines pratiques tape-à-l’œil de médias ou de politiciens ou de sociétés civiles ou d’individus, maîtres-chanteurs malins et filous qui utilisent certains raccourcis vils, pour des postes, des avantages ou de l’argent, comme qui dirait ‘faire l’âne pour avoir du son’.
Je respecte mon pays, mon président et toutes les institutions ainsi que tous les sénégalais valeureux et épris de justice qui cherchent à servir ‘SUNU GAAL’ avec UN PEUPLE, UN BUT et UNE FOI.
Vive le Sénégal, havre de paix et terre d’islam.
Fraternellement vôtre.
Anonyme
En Avril, 2016 (18:34 PM)Merci Au Pére
En Avril, 2016 (19:00 PM)Anonyme
En Avril, 2016 (08:19 AM)Anonyme
En Avril, 2016 (08:27 AM)Pitié pour vous.
Anonyme
En Avril, 2016 (08:33 AM)Témoin Apolitique
En Avril, 2016 (14:18 PM)Pour les étrangers, il faut emprisonner les maîtres (les dégoûter à vie de ce Sénégal -aubaine et laisser-aller-) et rendre les enfants à leurs parents (à tancer et à décourager à jamais) sur le champ.
Avez-vous déjà vu les petits talibés greloter durant le froid ou traîner le soir tard pour pouvoir compléter leur ‘versement’ avant d’OSER rentrer ? Que peut-on attendre de maîtres coraniques ayant vécu les mêmes conditions, sans psychologie et sans pédagogie et comme si l’enseignement était inné ?
En attendant, aucune subvention ne devra plus être octroyée à un dahra dont les pensionnaires n’ont pas été régulièrement inscrits à l’état-civil et dont les programmes et conditions d’hébergement n’ont pas été approuvés (comme pour les écoles classiques dites françaises) par les services compétents de l’Etat et de l’UNICEF. Nous sommes dans un état de droit et tous les citoyens doivent être régis par les mêmes lois et règlements pour garantir l’égalité et une paix durable pour tous.
L'arabe et le coran peuvent et doivent être intégrés dans les programmes scolaires et universitaires (pour relever les niveaux, retenir nos enfants autant faire se peut et créer par la même occasion de grands islamologues au cursus relevé et sûr, échappant au joug des jihadistes aux techniques de recrutements très sournoises) comme le catéchisme et le latin pour les catholiques, pour :
. couper court à cette fuite en avant de ministres de l’éducation, de députés, d’enseignants ou d’anciens talibés marqués à vie, mais si frileux et négatifs pour braver ce ‘désordre’ si bien établi ;
. pouvoir éradiquer ce sacrifice d’enfants qui n’ont même pas demandé à naître et qui n’ont que des droits au moment où leurs parents les oublient entre les mains d’ex-victimes irresponsables ayant subi les mêmes sévices et qui n’ont plus le plus souvent qu’une ‘pierre à la place du cœur’ et ;
. arrêter de créer ainsi une catégorie de citoyens (aigris et nécessiteux à l’esprit obtus, futures recrues de gourous nationaux et internationaux) écartés de toute civilisation générale mondiale.
Ce serait radical et plus personne n'aurait rien à dire, comme ce qui se passe actuellement avec la Gambie. IL FAUT SAVOIR REGLER LES PROBLEMES RECURRENTS (RETARDS DE BOURSES, D’ORIENTATIONS, DE PAIEMENT DE PRIMES, DE RAPPELS, D’ENTRETIEN ET DE RENOUVELLEMENT D’INSTALLATIONS ELECTRIQUES, DE CHANGEMENT PERIODIQUE DE PIECES POUR L’ADDUCTION D’EAU, ETC… –QUAND FAUT Y ALLER…- ET EVITER D’ETRE VRAIMENT DES MEDECINS APRES LA MORT) D’UNE MANIERE DEFINITIVE POUR POUVOIR PASSER A L’ESSENTIEL (SANTE, EDUCATION, EMPLOIS, EAU, ELECTRICITE, ETC…, DEVELOPPEMENT HARMONIEUX ET PAIX DURABLE). Coolement. A TEMPS, SINON COMMUNIQUER et FRANCHEMENT ALORS.
Au Sénégal, il faut savoir de temps en temps, après avoir maîtrisé (au sens propre comme au figuré) les différentes sensibilités, agir en goréen ou ‘dùsu’ pour arrêter les parlottes coupables de bien de dérives et de contre-offensives néfastes à la réalisation de projets utiles à la société.
Le Président de la République et le gouvernement (avec l’aide de leurs conseillers –pléthoriques et souvent inutiles ou sous-employés-) doivent savoir anticiper sur les solutions idoines aux cas qui pourraient à terme, constituer :
. des crimes contre l’humanité et/ou ;
. des causes de radicalisations diverses ou des poudrières :
.. étudiants (bourses, orientations, professeurs absentéistes ou sadiques),
.. enseignants (primes, rappels, indemnités normales à niveler avec les autres corps avec langage de vérité et fermeté),
.. corps médical (niveaux rémunérations correspondants aux niveaux de formations et de risques),
.. agriculture, secteur informel non rentable ou saturé, ex-détenus et ambulants professionnels (volontariat et retour au bercail après déblaiement de terres cultivables à grande échelle et subventions, dons-soutiens-encadrement, financements-hypothèques sur terrains pour l’année de démarrage),
.. détenus (psychologue, récupération familiale et formation adéquate),
.. femmes rurales, jeunes déscolarisés et filles-mères (encadrement-formation et financements adaptés),
.. etc…
Tout cela est COLOSSAL et indispensable, mais pas impossible et ô combien salvateur pour surtout tous ces laissés-pour-compte qui ont besoin d’un coup de pouce pour ‘émerger’ et s’y retrouver).
Ils doivent quand même faire preuve de plus de plus de guiss-guiss et de diligence dans le traitement des nombreuses urgences qui les interpellent au quotidien, sans oublier les prévisions normales à gérer rigoureusement.
Je pense que les conseillers devraient pouvoir aider à auditer les ministères et directions rattachées, par secteurs et par groupes, pour des recrutements objectifs à mêmes de relever leur efficience et pour contrôler les objectifs qui leur sont assignés, avec des vraies prérogatives (cas Pr Amsatou Sow Sidibé), pour également libérer le premier ministre et le président de la république qui sont souvent obligés de monter au créneau pour diverses raisons et pour rattraper surtout des erreurs et trajectoires complètement dévoyées.
Les présidents de conseil d’administration, différents élus, ministres et directeurs de société nationale, comme le sénégalais lambda, ont tendance à oublier, dès qu’ils durent dans une fonction, prennent du galon et/ou ont reçu les éloges du président, le pourquoi de leur nomination-élection, le dévouement qu’il doit au peuple sénégalais et les objectifs à eux assignés. Ils prennent alors les sénégalais pour des sujets et deviennent inaccessibles, tout en versant dans les tares de notre société (abus divers : femmes et maîtresses, parrainages et cérémonies folkloriques entraînant le mimétisme et les gâchis, ‘màttey’ et ‘m’as-tu vu’, détournements d’objectifs et de budgets, véhicules-missions-carburant-téléphone-mobilier-logements gérés sans parcimonie, recrutements subjectifs injustes notoires, manque de respect et utilisation des forces de sécurité et des société de services d’une manière abusive et de sorte à leur faire rater leurs objectifs, accaparement ou mauvaise distribution d’avantages destinés aux indigents, recherche de prestige démesuré, cour de ‘répondeurs automatiques’ énervants et serviles qui finissent par avoir le vrai pouvoir, horde de maraboutillons et griots manipulateurs, etc… ). Y’a de quoi vouloir se barricader pour échapper à tous ces ‘chasseurs’ et laudateurs aguerris et bien armés sur tous les plans. ‘Woyy’
De grâce, aucune fonction n’est obligatoire. Il faut savoir passer la main quand on ne peut ou ne veut plus. Les compétences existent (une personne = 1 mandat ou fonction) et des ‘karim’ super-pouvoiriste, on n’en veut plus. NOS MAMANS SONT NOIRES ET TOUTES MERITANTES ET NOUS SAVONS RESPECTER NOS CONGENERES ET RESTER A NOS PLACES et c’est tant mieux pour notre futur.
Malgré tout, je crois en nos grands serignes si indulgents et océans de savoir, avec mes deux préférés (Mame Abdou et Serigne Saliou qui m’avait choisi, sans oublier Serigne Cheikh l’Intellectuel raffiné et fin, et Thierno BA l’avocat des femmes).
ENTRE NOUS.
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