L’horreur et la terreur ont frappé le quartier périphérique Saré Guilel de Tambacounda, où un homme a été victime d’un lâche assassinat. Un jeune homme, âgé d’environ une trentaine d’années, a été tué, la tête fracassée, les yeux crevés, avant d’être jeté derrière l'école élémentaire dudit quartier. Il a été découvert dans la matinée du mercredi 19 novembre dernier. Le corps de la victime dont l'identité reste inconnue, a été acheminé à la morgue de l'hôpital. Une enquête a été aussitôt diligentée par la police, pour déterminer les causes de cet ignoble forfait.
Depuis quelque temps, les habitants de Tambacounda vivent dans la psychose permanente de l’insécurité. Si ce n’est pas un cas de viol ; c’est alors une agression sur de paisibles citoyens. La preuve en a été illustrée par cette agression suivie de mort d’homme. Cette fois-ci, c’est dans le quartier périphérique de Saré Guilel que l’horreur s’est déroulé, et a plongé tous ses habitants dans la psychose, la consternation, et la tristesse totale. Tout est parti d’un appel téléphonique balancé dans la matinée du Mercredi dernier, vers les coups de 11 heures, chez les sapeurs-pompiers du sous-groupement n°6 de Tambacounda. Une découverte macabre a été l’objet du coup fil dans le quartier périphérique de Saré Guilel, tout juste derrière une école élémentaire. Les hommes du commandant Madia Ndiaye, mobilisent leurs troupes et autres matériels pour aller sur le lieu indiqué à bord de leur véhicule banalisé, et sous les tintamarres d’une sirène. Arrivés sur les lieux, en compagnie des limiers du commissariat de Tambacounda. Ils font face à un corps sans vie, gisant dans une mare de sang, la tête fracassée, recouverte de pagne, les yeux crevés. Sur place, l’homme est couché sur le sol, habillé d'un pantalon jean. La victime dont l’identité n’a pas été révélée, parce que ne détenant aucune pièce par devers lui, reste inconnue pour le moment. Elle présentait un tatouage sur le bras gauche. Selon nos sources, ce crime serait survenu dans la nuit du mardi 18 au mercredi 19 novembre. Après le constat des limiers, le corps sans vie a été déposé à la morgue du centre hospitalier régional, pour les besoins de l'autopsie par les sapeurs-pompiers. Une enquête a été aussitôt diligentée par la police, pour déterminer les causes de cet ignoble forfait.
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