Ils sont jeunes, riches et aiment s’éclater. Seulement ? A la différence de leurs pairs qui mouillent leurs chemises sur les pistes de danse ou sur les bancs des collèges, « les fils de… » en mettent plein la vue à leurs amis : la belle vie, le whisky le plus cher et le champagne qui coule à flots! Dans ce monde de l’exposition permanente et du « bling-bling », le vol, l’arnaque et la tromperie sont des petits fours pour jeunes arrivistes.
Le vent de liberté qui souffle sur les Almadies a mis en selle plusieurs profils de jeunes gens garçons et filles qui inquiètent par leur comportement hors normes. Au moment où les étudiants de leur âge courent après le savoir et la consécration dans leurs études, eux sont préoccupés par tout autre chose. Leur monde se résume au sexe, au vol, à l’alcool à outrance et à la drogue, dans le souci de se divertir loin des cadres populaires de la capitale. C’est le crédo de ces jeunes jet-setteurs d’un nouveau genre. Avec l’arrivée massive de ces « fils de… », une nouvelle mentalité est érigée en règle dans ce triangle des sensations qu’ils fréquentent assidument. La plupart des endroits qu’ils apprécient s’y retrouvent concentrés. Ces jeunes habitent presque tous aux abords de cet Eldorado des fortunes dakaroises. Une génération inconsciente qui vit loin du besoin et trône sur le gratin du showbiz, dans les clubs et bistrots du coin a fini d’y faire la loi. Clinquants et pas modestes pour un sou, ils n’en finissent pas de s’exhiber entre deux parties de billard, quelques coupes de champagne et de bruyantes virées dans de rutilantes voitures.
Cette horde des nouveaux petits maîtres de la nuit envahit les palaces chics et portent, dans le secret de la nuit, par devers eux une carte bancaire fournie ou plusieurs liasses de billets et la réputation de leur père. Fils de ministre, député ou sénateur, rejeton d’un célèbre musicien ou répondant au nom d’un riche homme d’affaires, les portes du Dakar by Night s’ouvrent largement pour ces mômes qui n’existent que par leur nom de famille. Souvent d’âges précoces, mais rompus aux arcanes de l’arnaque et jeux d’influences, les « fils de… » forgent leur réputation sur une appartenance clanique, ce qui fait qu’ils sortent en bande, et opèrent, souvent, par les mêmes procédés pour avoir les moyens de leur politique. Des petits larcins aux vols organisés, en passant par les cambriolages et recels d’objets de valeur, ils portent aisément le poids de leur arrogance et ne reculent devant rien pour satisfaire leur besoin de paraître et de s’éclater. Le temps d’un week-end il leur arrive de « décrocher », histoire de changer d’air, vers une station balnéaire du pays. Une virée cautionnée par un membre de la fratrie qui aurait gagné le jackpot à la loterie familiale.
L’incroyable cadeau d’anniversaire d’un « jet-setteur » à son meilleur « pote » qui fête ses 17 ans ? Un week-end à Saly avec un mannequin qui fait le buzz, parties de billard arrosées de grands crus avec vedettes et célébrités de la musique, rien n’est trop beau pour se faire plaisir. Toute cette « baraka » attire de nombreux entremetteurs, avides de mettre la main sur quelques miettes tombées de la nappe de ces petits richards. Ils parviennent sans grande peine à trouver une place à la table du dernier parvenu et s’empressent de prévenir leur moindre désir. Surtout quant il s’agit de leur mettre entre les pattes la belle sur laquelle ils viennent de jeter leur dévolu.
Dommages collatéraux : enceinte du fils d’un ministre d’Etat, elle regrette…
Des confidences de filles introduites dans le cercle d’une célèbre bande, ressortent la vraie nature, et le profil social de cette race d’ « enfants-rois » très courue par la gent féminine. L’une de ces pauvres proies, enceinte du fils d’un ministre très influent, témoigne de la cupidité qui finit par avoir raison de la vie de certaines filles trop naïves. Son propos, dépité, laisse perler la déception qui l’habite. Aux premiers signes de son état, elle a failli tomber des nues, quand son étalon, toute honte bue, s’est débiné, expliquant n’avoir ni les moyens ni le courage d’assumer la paternité. Le dossier, déjà en justice, n’a pas fini de révéler ses petits secrets. En effet, la fille en question rumine sa vengeance et menace de parler si la situation perdure. C’est elle, avec ses souvenirs, qui dépeint celui qui a empoisonné son existence. « C’est un menteur qui m’a toujours faire croire à des chimères. Tout ce qu’il disait, c’était sous le coup de l’alcool et même quand il me donnait des sous, son plan était déjà en tête. Il ne fait rien pour rien. Il n’a ni boulot ni diplôme, tout ce qui le fait vivre, ce sont les sommes importantes qu’il dérobe du compte de son père. Il lui arrive, pour se dépanner, de « bazarder » les bijoux de sa mère. »
Chez une ancienne Miss Sénégal, RV galants entre fils de ministres et de marabouts
Le monde de ces mômes qui font la loi la nuit ne s’arrête pas à l’ambiance enivrée des boîtes de nuit. Notre incursion ce week-end dans l’intimité du restaurant de la place nous a mis sur la piste d’une autre destination. Celle d’appartements privés qui accueillent, surtout les week-ends, des visiteurs triés sur le volet. Dans la suite d’une célèbre ex-Miss Sénégal absente du territoire. Elle a 17 ans et maîtrise déjà son petit monde. Entre deux coups de fil, elle reçoit des amies qu’elle installe dans le vaste salon meublé avec goût. Entre Iphone, tablettes Samsung et autres gadgets électroniques, on se croirait dans une salle de jeux, et ce sont les salutations qui font sauter le verrou sur l’identité des uns et des autres. C’est la « fille de… ».
Plus loin, un peu en retrait, une jeune dame d’une rare noirceur, répond à des « Sokhna Si, Sang bi » par un fin sourire. Renseignement pris, c’est la fille d’un défunt khalife. Dans cette ambiance qui tranche avec nos réalités familiales, bercée par des chichis et cliquetis de jeunes arrivistes, le nœud de la discussion ignore l’actualité politique et les difficultés sociales. Ici, dans cette assemblée de nantis tout tourne autour des dernières tendances mode, de « Ivy Blue » le bébé de Beyonce ou des dernières frasques de Rihanna. Si le souci principal, pour se faire voir, n’est pas la disponibilité de la bagnole du pater et du garde du corps …s’il vous plait.
Le vent de liberté qui souffle sur les Almadies a mis en selle plusieurs profils de jeunes gens garçons et filles qui inquiètent par leur comportement hors normes. Au moment où les étudiants de leur âge courent après le savoir et la consécration dans leurs études, eux sont préoccupés par tout autre chose. Leur monde se résume au sexe, au vol, à l’alcool à outrance et à la drogue, dans le souci de se divertir loin des cadres populaires de la capitale. C’est le crédo de ces jeunes jet-setteurs d’un nouveau genre. Avec l’arrivée massive de ces « fils de… », une nouvelle mentalité est érigée en règle dans ce triangle des sensations qu’ils fréquentent assidument. La plupart des endroits qu’ils apprécient s’y retrouvent concentrés. Ces jeunes habitent presque tous aux abords de cet Eldorado des fortunes dakaroises. Une génération inconsciente qui vit loin du besoin et trône sur le gratin du showbiz, dans les clubs et bistrots du coin a fini d’y faire la loi. Clinquants et pas modestes pour un sou, ils n’en finissent pas de s’exhiber entre deux parties de billard, quelques coupes de champagne et de bruyantes virées dans de rutilantes voitures.
Cette horde des nouveaux petits maîtres de la nuit envahit les palaces chics et portent, dans le secret de la nuit, par devers eux une carte bancaire fournie ou plusieurs liasses de billets et la réputation de leur père. Fils de ministre, député ou sénateur, rejeton d’un célèbre musicien ou répondant au nom d’un riche homme d’affaires, les portes du Dakar by Night s’ouvrent largement pour ces mômes qui n’existent que par leur nom de famille. Souvent d’âges précoces, mais rompus aux arcanes de l’arnaque et jeux d’influences, les « fils de… » forgent leur réputation sur une appartenance clanique, ce qui fait qu’ils sortent en bande, et opèrent, souvent, par les mêmes procédés pour avoir les moyens de leur politique. Des petits larcins aux vols organisés, en passant par les cambriolages et recels d’objets de valeur, ils portent aisément le poids de leur arrogance et ne reculent devant rien pour satisfaire leur besoin de paraître et de s’éclater. Le temps d’un week-end il leur arrive de « décrocher », histoire de changer d’air, vers une station balnéaire du pays. Une virée cautionnée par un membre de la fratrie qui aurait gagné le jackpot à la loterie familiale.
L’incroyable cadeau d’anniversaire d’un « jet-setteur » à son meilleur « pote » qui fête ses 17 ans ? Un week-end à Saly avec un mannequin qui fait le buzz, parties de billard arrosées de grands crus avec vedettes et célébrités de la musique, rien n’est trop beau pour se faire plaisir. Toute cette « baraka » attire de nombreux entremetteurs, avides de mettre la main sur quelques miettes tombées de la nappe de ces petits richards. Ils parviennent sans grande peine à trouver une place à la table du dernier parvenu et s’empressent de prévenir leur moindre désir. Surtout quant il s’agit de leur mettre entre les pattes la belle sur laquelle ils viennent de jeter leur dévolu.
Dommages collatéraux : enceinte du fils d’un ministre d’Etat, elle regrette…
Des confidences de filles introduites dans le cercle d’une célèbre bande, ressortent la vraie nature, et le profil social de cette race d’ « enfants-rois » très courue par la gent féminine. L’une de ces pauvres proies, enceinte du fils d’un ministre très influent, témoigne de la cupidité qui finit par avoir raison de la vie de certaines filles trop naïves. Son propos, dépité, laisse perler la déception qui l’habite. Aux premiers signes de son état, elle a failli tomber des nues, quand son étalon, toute honte bue, s’est débiné, expliquant n’avoir ni les moyens ni le courage d’assumer la paternité. Le dossier, déjà en justice, n’a pas fini de révéler ses petits secrets. En effet, la fille en question rumine sa vengeance et menace de parler si la situation perdure. C’est elle, avec ses souvenirs, qui dépeint celui qui a empoisonné son existence. « C’est un menteur qui m’a toujours faire croire à des chimères. Tout ce qu’il disait, c’était sous le coup de l’alcool et même quand il me donnait des sous, son plan était déjà en tête. Il ne fait rien pour rien. Il n’a ni boulot ni diplôme, tout ce qui le fait vivre, ce sont les sommes importantes qu’il dérobe du compte de son père. Il lui arrive, pour se dépanner, de « bazarder » les bijoux de sa mère. »
Chez une ancienne Miss Sénégal, RV galants entre fils de ministres et de marabouts
Le monde de ces mômes qui font la loi la nuit ne s’arrête pas à l’ambiance enivrée des boîtes de nuit. Notre incursion ce week-end dans l’intimité du restaurant de la place nous a mis sur la piste d’une autre destination. Celle d’appartements privés qui accueillent, surtout les week-ends, des visiteurs triés sur le volet. Dans la suite d’une célèbre ex-Miss Sénégal absente du territoire. Elle a 17 ans et maîtrise déjà son petit monde. Entre deux coups de fil, elle reçoit des amies qu’elle installe dans le vaste salon meublé avec goût. Entre Iphone, tablettes Samsung et autres gadgets électroniques, on se croirait dans une salle de jeux, et ce sont les salutations qui font sauter le verrou sur l’identité des uns et des autres. C’est la « fille de… ».
Plus loin, un peu en retrait, une jeune dame d’une rare noirceur, répond à des « Sokhna Si, Sang bi » par un fin sourire. Renseignement pris, c’est la fille d’un défunt khalife. Dans cette ambiance qui tranche avec nos réalités familiales, bercée par des chichis et cliquetis de jeunes arrivistes, le nœud de la discussion ignore l’actualité politique et les difficultés sociales. Ici, dans cette assemblée de nantis tout tourne autour des dernières tendances mode, de « Ivy Blue » le bébé de Beyonce ou des dernières frasques de Rihanna. Si le souci principal, pour se faire voir, n’est pas la disponibilité de la bagnole du pater et du garde du corps …s’il vous plait.
24 Commentaires
Che
En Avril, 2012 (10:33 AM)Pfffff
En Avril, 2012 (10:33 AM)épouse Désespérée
En Avril, 2012 (10:40 AM)je viens vous soumettre un problème : voilà depuis 6 mois je suis mariée mais je n'en peux plus de mon mari, il sent trop fort sakh maname dafa ame khétou pokotane bou guili
j'ai tout essayé et je le force même à prendre sa douche trois fois par jour mais à chaque fois il suffit qu'on marche un peu pour que l'odeur soit fort piquant même s'il met du parfum
pourtant lorsqu'il se lave il frotte bien ses pokotanes et il les rase même mais je ne sais plus quoi faire
c'est très désagréable lorsqu'on dort sur le même lit j'étouffe à cause de cette mauvaise odeur , j'en arrive même à ne plus vouloir faire l'amour avec lui ni à le désirer car s'il me monte je ne supporte pas le trop fort odeur et je vous dis même pas si on est sous la même couette
franchement li mounoule continuer, si quelqu'un peut nous donner des solutions pour que ça parte ou sakhe ca diminue je serai la plus heureuse sur terre car c'est très gênant surtout si des gens viennent vous voir ou vous passer devant des gens
c'est un khéte tré tré fort, je ne sais pas comment diminuer ou enlever ca de ses pokotanes
sone na torop si ca continue dana gnane sama batte car je risque de tomber malade avec ca, mougne na ba sone nak mais la j'en peu plus
merci de me donner vos solutions si vous en connaissez , j'ai 27ans lui 32ans
Affaires Etr
En Avril, 2012 (10:53 AM)Citron
En Avril, 2012 (10:55 AM)Lo
En Avril, 2012 (10:58 AM)Wekh Dounk
En Avril, 2012 (11:27 AM)Igor
En Avril, 2012 (11:31 AM)Mary.gucci
En Avril, 2012 (11:54 AM)Fadera
En Avril, 2012 (12:17 PM)Boy Pekin
En Avril, 2012 (12:23 PM)Bodianel
En Avril, 2012 (12:38 PM)Fina
En Avril, 2012 (13:35 PM)legui bene fils de rich nekatoul dakar sakh ils sont tous a l'etranger vacance ba vance on vient on fé la teuf on reprend nos clics et nos clacs et on se barre, les ptits connards qui essayent d'imter nak c pas des fils de riches c des crevards qui veulent se la peter té amouniou gatt boulene niou sonal waye
Le Hibou
En Avril, 2012 (14:01 PM)Zongo
En Avril, 2012 (14:12 PM)Key
En Avril, 2012 (14:13 PM)Jules10
En Avril, 2012 (14:18 PM)J'avais ce problème.
Depuis, mes nanas me congratulent pour ma propreté.
Réponse à 7 Femme
En Avril, 2012 (14:19 PM)Parcontre il y'a un mélange pas du tout nossif que nos mamans sénégalaises utilisent la plupart du temps pour nettoyer toutes les impuretés internes et selon procure une bonne sensation et un odeur agréable quand on transpire. tu prends une bouteille d'eau de 1,5l tu y ajoute du "théépe"( se sont de ptit racine que l'on met ds l'eau pour améliorer le gout, on peut les trouver au marché avec les femmes qui vende des produits venant du mali) et 3 à 5 "ngowé" naturel. il prend sela comme de l'eau le gout est trés agréable à boire et c'est trés curatif.
en méme temps il peut prendre du bicarbonate le mettre dans de l'eau tiéde et se rincer avec apres chaque bain.
Ne l'abandonne surtout pas car il a besoin de toi, c'est à nous de bien prendre soin de nos mari, frère...
Zongo
En Avril, 2012 (16:15 PM)Deet
En Avril, 2012 (23:05 PM)Alou
En Avril, 2012 (12:10 PM)madame je comprends parfaitement votre déception. C'est un cas de désagrément qui touche pas mal de personnes. A l'école primaire, j'avais une camarade de classe touchée par ce fait, j,arrivais à la limite du vomissement tellement l'odeur était forte. Par ailleurs, vous êtes mariés pour le meilleur et pour le pire, donc pensez pas au divorce. Dites lui de jeuner quelques jours et à la coupure du jeune qu'Il évite de manger ses repas habituels et qu'il boive beaucoup de boissons à base de menthe, ou d'essence ( odeur) forte.
Puis aprés ces quelques jours, évitez aussi de lui donner ses repas préférés, tout cela en deux semaines.
si l'odeur ne persiste aprés ce traitement contacter un nutritionniste ou un médecin , parce que ca pourrait être un probléme plus sérieux et une étude plus approfondie liée à ses organes internes devrait être envisagée.
bonne chance
Grandmbaye
En Avril, 2012 (16:28 PM)Adji
En Avril, 2012 (17:05 PM)Anonyme
En Février, 2017 (17:14 PM)Participer à la Discussion