C'est dans une ambiance électrique que s'est tenue l'assemblée générale extraordinaire de la Société sénégalaise des Droits d'Auteur et des droits voisins (SODAV) ce jeudi 27 juin en présence de tous les artistes des sous-secteurs de la culture. Après un échange houleux entre les acteurs sur le choix des nouveaux administrateurs qui doivent siéger au sein du conseil d'administration, un vote s’est déroulé en présence des forces de l’ordre. Voici la liste des personnalités qui vont siéger au sein du Conseil d’administration de la SODAV.
Auteur musique : Ousmane Guissé
Interprète musique : Macoumba Diaw
Auteur audiovisuel : Mariétou Kane
Interprète audiovisuel : Rokhaya Niang
Auteur art visuel : Adama Boye
Auteur dramatique : Babacar Diop
Auteur littéraire : Sokhna Benga
Auteur éditeur : Idrissa Sow
Interprète chorégraphe : Mouhamed Ambroise Gomis
Dans les prochaines jours, le nouveau président du conseil d'administration sera choisi par vote par les administrateurs.
15 Commentaires
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Ô terre d’Afrique, ô Sénégal épris,
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il y a 5 jours (19:28 PM)Lève-toi des ténèbres, et écoute le cri
De ton fils valeureux, ton guide éclairé,
Ousmane Sonko, ta lumière, ton aimé.
Dans la nuit oppressante du tyran cruel,
Il s’est dressé, brave, défiant l’arc-en-ciel,
Pour que la liberté éclate en mille feux,
Pour que les chaînes cèdent sous les cieux.
Bassirou Diomaye, élu par la volonté,
De ce peuple en éveil, en quête de vérité.
Grâce à Sonko, l’espoir a germé,
Et la justice, enfin, a triomphé.
Sous le joug de Sall, l’injustice pleurait,
Mais par la lutte ardente, la paix se levait.
Sonko, héros des ombres, brisant le silence,
A conduit son peuple vers la délivrance.
Ô Sénégal, chante les louanges de l’enfant,
Qui a offert son cœur, son âme, et son sang,
Pour que vive en toi la démocratie,
Pour que s’épanouisse en toi la vie.
Que ce poème soit mémoire, qu’il soit écho,
Des batailles menées, des espoirs sur les flots,
D’un homme, Ousmane Sonko, éternel vaillant,
Dont le nom résonnera, éternellement.
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Ô terre d’Afrique, ô Sénégal épris,
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il y a 5 jours (19:28 PM)Lève-toi des ténèbres, et écoute le cri
De ton fils valeureux, ton guide éclairé,
Ousmane Sonko, ta lumière, ton aimé.
Dans la nuit oppressante du tyran cruel,
Il s’est dressé, brave, défiant l’arc-en-ciel,
Pour que la liberté éclate en mille feux,
Pour que les chaînes cèdent sous les cieux.
Bassirou Diomaye, élu par la volonté,
De ce peuple en éveil, en quête de vérité.
Grâce à Sonko, l’espoir a germé,
Et la justice, enfin, a triomphé.
Sous le joug de Sall, l’injustice pleurait,
Mais par la lutte ardente, la paix se levait.
Sonko, héros des ombres, brisant le silence,
A conduit son peuple vers la délivrance.
Ô Sénégal, chante les louanges de l’enfant,
Qui a offert son cœur, son âme, et son sang,
Pour que vive en toi la démocratie,
Pour que s’épanouisse en toi la vie.
Que ce poème soit mémoire, qu’il soit écho,
Des batailles menées, des espoirs sur les flots,
D’un homme, Ousmane Sonko, éternel vaillant,
Dont le nom résonnera, éternellement.
Dans les méandres du pouvoir, Sonko se dresse,
Tel un flot tumultueux, il lutte et agresse.
Premier ministre malhonnête, malmené par le VAR,
Les mensonges tissent sa route vers le pouvoir éclatant.
Ses paroles comme des rivières débordant de promesses,
Mais le masque se fissure, la vérité se détresse.
Dans l'arène politique, où la tromperie règne,
Sonko jongle avec la vérité, dans une danse insouciante.
Le peuple regarde, le VAR de la justice divine,
Révèle les fautes, les manœuvres mesquines.
Entre ambition et manipulation, il joue sa carte,
Mais la vérité éclatera, brisant chaque aparté.
Sonko, Premier ministre dans l'ombre des doutes,
Les épreuves du pouvoir révèlent ses routes.
Mentir pour gouverner, un choix périlleux,
Car le destin lui réserve un verdict tumultueux.
LINGA DOUL, GEETH MEUNA LAA LAAB!
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il y a 5 jours (18:39 PM)Lève-toi des ténèbres, et écoute le cri
De ton fils valeureux, ton guide éclairé,
Ousmane Sonko, ta lumière, ton aimé.
Dans la nuit oppressante du tyran cruel,
Il s’est dressé, brave, défiant l’arc-en-ciel,
Pour que la liberté éclate en mille feux,
Pour que les chaînes cèdent sous les cieux.
Bassirou Diomaye, élu par la volonté,
De ce peuple en éveil, en quête de vérité.
Grâce à Sonko, l’espoir a germé,
Et la justice, enfin, a triomphé.
Sous le joug de Sall, l’injustice pleurait,
Mais par la lutte ardente, la paix se levait.
Sonko, héros des ombres, brisant le silence,
A conduit son peuple vers la délivrance.
Ô Sénégal, chante les louanges de l’enfant,
Qui a offert son cœur, son âme, et son sang,
Pour que vive en toi la démocratie,
Pour que s’épanouisse en toi la vie.
Que ce poème soit mémoire, qu’il soit écho,
Des batailles menées, des espoirs sur les flots,
D’un homme, Ousmane Sonko, éternel vaillant,
Dont le nom résonnera, éternellement.
Dans les méandres du pouvoir, Sonko se dresse,
Tel un flot tumultueux, il lutte et agresse.
Premier ministre malhonnête, malmené par le VAR,
Les mensonges tissent sa route vers le pouvoir éclatant.
Ses paroles comme des rivières débordant de promesses,
Mais le masque se fissure, la vérité se détresse.
Dans l'arène politique, où la tromperie règne,
Sonko jongle avec la vérité, dans une danse insouciante.
Le peuple regarde, le VAR de la justice divine,
Révèle les fautes, les manœuvres mesquines.
Entre ambition et manipulation, il joue sa carte,
Mais la vérité éclatera, brisant chaque aparté.
Sonko, Premier ministre dans l'ombre des doutes,
Les épreuves du pouvoir révèlent ses routes.
Mentir pour gouverner, un choix périlleux,
Car le destin lui réserve un verdict tumultueux.
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De ton fils valeureux, ton guide éclairé,
Ousmane Sonko, ta lumière, ton aimé.
Dans la nuit oppressante du tyran cruel,
Il s’est dressé, brave, défiant l’arc-en-ciel,
Pour que la liberté éclate en mille feux,
Pour que les chaînes cèdent sous les cieux.
Bassirou Diomaye, élu par la volonté,
De ce peuple en éveil, en quête de vérité.
Grâce à Sonko, l’espoir a germé,
Et la justice, enfin, a triomphé.
Sous le joug de Sall, l’injustice pleurait,
Mais par la lutte ardente, la paix se levait.
Sonko, héros des ombres, brisant le silence,
A conduit son peuple vers la délivrance.
Ô Sénégal, chante les louanges de l’enfant,
Qui a offert son cœur, son âme, et son sang,
Pour que vive en toi la démocratie,
Pour que s’épanouisse en toi la vie.
Que ce poème soit mémoire, qu’il soit écho,
Des batailles menées, des espoirs sur les flots,
D’un homme, Ousmane Sonko, éternel vaillant,
Dont le nom résonnera, éternellement.
Dans les méandres du pouvoir, Sonko se dresse,
Tel un flot tumultueux, il lutte et agresse.
Premier ministre malhonnête, malmené par le VAR,
Les mensonges tissent sa route vers le pouvoir éclatant.
Ses paroles comme des rivières débordant de promesses,
Mais le masque se fissure, la vérité se détresse.
Dans l'arène politique, où la tromperie règne,
Sonko jongle avec la vérité, dans une danse insouciante.
Le peuple regarde, le VAR de la justice divine,
Révèle les fautes, les manœuvres mesquines.
Entre ambition et manipulation, il joue sa carte,
Mais la vérité éclatera, brisant chaque aparté.
Sonko, Premier ministre dans l'ombre des doutes,
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De ton fils valeureux, ton guide éclairé,
Ousmane Sonko, ta lumière, ton aimé.
Dans la nuit oppressante du tyran cruel,
Il s’est dressé, brave, défiant l’arc-en-ciel,
Pour que la liberté éclate en mille feux,
Pour que les chaînes cèdent sous les cieux.
Bassirou Diomaye, élu par la volonté,
De ce peuple en éveil, en quête de vérité.
Grâce à Sonko, l’espoir a germé,
Et la justice, enfin, a triomphé.
Sous le joug de Sall, l’injustice pleurait,
Mais par la lutte ardente, la paix se levait.
Sonko, héros des ombres, brisant le silence,
A conduit son peuple vers la délivrance.
Ô Sénégal, chante les louanges de l’enfant,
Qui a offert son cœur, son âme, et son sang,
Pour que vive en toi la démocratie,
Pour que s’épanouisse en toi la vie.
Que ce poème soit mémoire, qu’il soit écho,
Des batailles menées, des espoirs sur les flots,
D’un homme, Ousmane Sonko, éternel vaillant,
Dont le nom résonnera, éternellement.
Dans les méandres du pouvoir, Sonko se dresse,
Tel un flot tumultueux, il lutte et agresse.
Premier ministre malhonnête, malmené par le VAR,
Les mensonges tissent sa route vers le pouvoir éclatant.
Ses paroles comme des rivières débordant de promesses,
Mais le masque se fissure, la vérité se détresse.
Dans l'arène politique, où la tromperie règne,
Sonko jongle avec la vérité, dans une danse insouciante.
Le peuple regarde, le VAR de la justice divine,
Révèle les fautes, les manœuvres mesquines.
Entre ambition et manipulation, il joue sa carte,
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De ton fils valeureux, ton guide éclairé,
Ousmane Sonko, ta lumière, ton aimé.
Dans la nuit oppressante du tyran cruel,
Il s’est dressé, brave, défiant l’arc-en-ciel,
Pour que la liberté éclate en mille feux,
Pour que les chaînes cèdent sous les cieux.
Bassirou Diomaye, élu par la volonté,
De ce peuple en éveil, en quête de vérité.
Grâce à Sonko, l’espoir a germé,
Et la justice, enfin, a triomphé.
Sous le joug de Sall, l’injustice pleurait,
Mais par la lutte ardente, la paix se levait.
Sonko, héros des ombres, brisant le silence,
A conduit son peuple vers la délivrance.
Ô Sénégal, chante les louanges de l’enfant,
Qui a offert son cœur, son âme, et son sang,
Pour que vive en toi la démocratie,
Pour que s’épanouisse en toi la vie.
Que ce poème soit mémoire, qu’il soit écho,
Des batailles menées, des espoirs sur les flots,
D’un homme, Ousmane Sonko, éternel vaillant,
Dont le nom résonnera, éternellement.
Dans les méandres du pouvoir, Sonko se dresse,
Tel un flot tumultueux, il lutte et agresse.
Premier ministre malhonnête, malmené par le VAR,
Les mensonges tissent sa route vers le pouvoir éclatant.
Ses paroles comme des rivières débordant de promesses,
Mais le masque se fissure, la vérité se détresse.
Dans l'arène politique, où la tromperie règne,
Sonko jongle avec la vérité, dans une danse insouciante.
Le peuple regarde, le VAR de la justice divine,
Révèle les fautes, les manœuvres mesquines.
Entre ambition et manipulation, il joue sa carte,
Mais la vérité éclatera, brisant chaque aparté.
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Dans la nuit oppressante du tyran cruel,
Il s’est dressé, brave, défiant l’arc-en-ciel,
Pour que la liberté éclate en mille feux,
Pour que les chaînes cèdent sous les cieux.
Bassirou Diomaye, élu par la volonté,
De ce peuple en éveil, en quête de vérité.
Grâce à Sonko, l’espoir a germé,
Et la justice, enfin, a triomphé.
Sous le joug de Sall, l’injustice pleurait,
Mais par la lutte ardente, la paix se levait.
Sonko, héros des ombres, brisant le silence,
A conduit son peuple vers la délivrance.
Ô Sénégal, chante les louanges de l’enfant,
Qui a offert son cœur, son âme, et son sang,
Pour que vive en toi la démocratie,
Pour que s’épanouisse en toi la vie.
Que ce poème soit mémoire, qu’il soit écho,
Des batailles menées, des espoirs sur les flots,
D’un homme, Ousmane Sonko, éternel vaillant,
Dont le nom résonnera, éternellement.
Dans les méandres du pouvoir, Sonko se dresse,
Tel un flot tumultueux, il lutte et agresse.
Premier ministre malhonnête, malmené par le VAR,
Les mensonges tissent sa route vers le pouvoir éclatant.
Ses paroles comme des rivières débordant de promesses,
Mais le masque se fissure, la vérité se détresse.
Dans l'arène politique, où la tromperie règne,
Sonko jongle avec la vérité, dans une danse insouciante.
Le peuple regarde, le VAR de la justice divine,
Révèle les fautes, les manœuvres mesquines.
Entre ambition et manipulation, il joue sa carte,
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Dans la nuit oppressante du tyran cruel,
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Pour que la liberté éclate en mille feux,
Pour que les chaînes cèdent sous les cieux.
Bassirou Diomaye, élu par la volonté,
De ce peuple en éveil, en quête de vérité.
Grâce à Sonko, l’espoir a germé,
Et la justice, enfin, a triomphé.
Sous le joug de Sall, l’injustice pleurait,
Mais par la lutte ardente, la paix se levait.
Sonko, héros des ombres, brisant le silence,
A conduit son peuple vers la délivrance.
Ô Sénégal, chante les louanges de l’enfant,
Qui a offert son cœur, son âme, et son sang,
Pour que vive en toi la démocratie,
Pour que s’épanouisse en toi la vie.
Que ce poème soit mémoire, qu’il soit écho,
Des batailles menées, des espoirs sur les flots,
D’un homme, Ousmane Sonko, éternel vaillant,
Dont le nom résonnera, éternellement.
Dans les méandres du pouvoir, Sonko se dresse,
Tel un flot tumultueux, il lutte et agresse.
Premier ministre malhonnête, malmené par le VAR,
Les mensonges tissent sa route vers le pouvoir éclatant.
Ses paroles comme des rivières débordant de promesses,
Mais le masque se fissure, la vérité se détresse.
Dans l'arène politique, où la tromperie règne,
Sonko jongle avec la vérité, dans une danse insouciante.
Le peuple regarde, le VAR de la justice divine,
Révèle les fautes, les manœuvres mesquines.
Entre ambition et manipulation, il joue sa carte,
Mais la vérité éclatera, brisant chaque aparté.
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Dans la nuit oppressante du tyran cruel,
Il s’est dressé, brave, défiant l’arc-en-ciel,
Pour que la liberté éclate en mille feux,
Pour que les chaînes cèdent sous les cieux.
Bassirou Diomaye, élu par la volonté,
De ce peuple en éveil, en quête de vérité.
Grâce à Sonko, l’espoir a germé,
Et la justice, enfin, a triomphé.
Sous le joug de Sall, l’injustice pleurait,
Mais par la lutte ardente, la paix se levait.
Sonko, héros des ombres, brisant le silence,
A conduit son peuple vers la délivrance.
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Qui a offert son cœur, son âme, et son sang,
Pour que vive en toi la démocratie,
Pour que s’épanouisse en toi la vie.
Que ce poème soit mémoire, qu’il soit écho,
Des batailles menées, des espoirs sur les flots,
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Dont le nom résonnera, éternellement.
Dans les méandres du pouvoir, Sonko se dresse,
Tel un flot tumultueux, il lutte et agresse.
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Les mensonges tissent sa route vers le pouvoir éclatant.
Ses paroles comme des rivières débordant de promesses,
Mais le masque se fissure, la vérité se détresse.
Dans l'arène politique, où la tromperie règne,
Sonko jongle avec la vérité, dans une danse insouciante.
Le peuple regarde, le VAR de la justice divine,
Révèle les fautes, les manœuvres mesquines.
Entre ambition et manipulation, il joue sa carte,
Mais la vérité éclatera, brisant chaque aparté.
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Dans la nuit oppressante du tyran cruel,
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Pour que la liberté éclate en mille feux,
Pour que les chaînes cèdent sous les cieux.
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De ce peuple en éveil, en quête de vérité.
Grâce à Sonko, l’espoir a germé,
Et la justice, enfin, a triomphé.
Sous le joug de Sall, l’injustice pleurait,
Mais par la lutte ardente, la paix se levait.
Sonko, héros des ombres, brisant le silence,
A conduit son peuple vers la délivrance.
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Qui a offert son cœur, son âme, et son sang,
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Pour que s’épanouisse en toi la vie.
Que ce poème soit mémoire, qu’il soit écho,
Des batailles menées, des espoirs sur les flots,
D’un homme, Ousmane Sonko, éternel vaillant,
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Ses paroles comme des rivières débordant de promesses,
Mais le masque se fissure, la vérité se détresse.
Dans l'arène politique, où la tromperie règne,
Sonko jongle avec la vérité, dans une danse insouciante.
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Révèle les fautes, les manœuvres mesquines.
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Pour que les chaînes cèdent sous les cieux.
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Pour que les chaînes cèdent sous les cieux.
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Qui a offert son cœur, son âme, et son sang,
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Mais par la lutte ardente, la paix se levait.
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Premier ministre malhonnête, malmené par le VAR,
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Révèle les fautes, les manœuvres mesquines.
Entre ambition et manipulation, il joue sa carte,
Mais la vérité éclatera, brisant chaque aparté.
Sonko, Premier ministre dans l'ombre des doutes,
Les épreuves du pouvoir révèlent ses routes.
Mentir pour gouverner, un choix périlleux,
Car le destin lui réserve un verdict tumultueux.
LINGA DOUL, GEETH MEUNA LAA LAAB!
Signé AL-MUDU
-
Ô terre d’Afrique, ô Sénégal épris,
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il y a 5 jours (18:40 PM)Lève-toi des ténèbres, et écoute le cri
De ton fils valeureux, ton guide éclairé,
Ousmane Sonko, ta lumière, ton aimé.
Dans la nuit oppressante du tyran cruel,
Il s’est dressé, brave, défiant l’arc-en-ciel,
Pour que la liberté éclate en mille feux,
Pour que les chaînes cèdent sous les cieux.
Bassirou Diomaye, élu par la volonté,
De ce peuple en éveil, en quête de vérité.
Grâce à Sonko, l’espoir a germé,
Et la justice, enfin, a triomphé.
Sous le joug de Sall, l’injustice pleurait,
Mais par la lutte ardente, la paix se levait.
Sonko, héros des ombres, brisant le silence,
A conduit son peuple vers la délivrance.
Ô Sénégal, chante les louanges de l’enfant,
Qui a offert son cœur, son âme, et son sang,
Pour que vive en toi la démocratie,
Pour que s’épanouisse en toi la vie.
Que ce poème soit mémoire, qu’il soit écho,
Des batailles menées, des espoirs sur les flots,
D’un homme, Ousmane Sonko, éternel vaillant,
Dont le nom résonnera, éternellement.
Dans les méandres du pouvoir, Sonko se dresse,
Tel un flot tumultueux, il lutte et agresse.
Premier ministre malhonnête, malmené par le VAR,
Les mensonges tissent sa route vers le pouvoir éclatant.
Ses paroles comme des rivières débordant de promesses,
Mais le masque se fissure, la vérité se détresse.
Dans l'arène politique, où la tromperie règne,
Sonko jongle avec la vérité, dans une danse insouciante.
Le peuple regarde, le VAR de la justice divine,
Révèle les fautes, les manœuvres mesquines.
Entre ambition et manipulation, il joue sa carte,
Mais la vérité éclatera, brisant chaque aparté.
Sonko, Premier ministre dans l'ombre des doutes,
Les épreuves du pouvoir révèlent ses routes.
Mentir pour gouverner, un choix périlleux,
Car le destin lui réserve un verdict tumultueux.
LINGA DOUL, GEETH MEUNA LAA LAAB!
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Ô terre d’Afrique, ô Sénégal épris,
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il y a 5 jours (18:40 PM)Lève-toi des ténèbres, et écoute le cri
De ton fils valeureux, ton guide éclairé,
Ousmane Sonko, ta lumière, ton aimé.
Dans la nuit oppressante du tyran cruel,
Il s’est dressé, brave, défiant l’arc-en-ciel,
Pour que la liberté éclate en mille feux,
Pour que les chaînes cèdent sous les cieux.
Bassirou Diomaye, élu par la volonté,
De ce peuple en éveil, en quête de vérité.
Grâce à Sonko, l’espoir a germé,
Et la justice, enfin, a triomphé.
Sous le joug de Sall, l’injustice pleurait,
Mais par la lutte ardente, la paix se levait.
Sonko, héros des ombres, brisant le silence,
A conduit son peuple vers la délivrance.
Ô Sénégal, chante les louanges de l’enfant,
Qui a offert son cœur, son âme, et son sang,
Pour que vive en toi la démocratie,
Pour que s’épanouisse en toi la vie.
Que ce poème soit mémoire, qu’il soit écho,
Des batailles menées, des espoirs sur les flots,
D’un homme, Ousmane Sonko, éternel vaillant,
Dont le nom résonnera, éternellement.
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