Elle est coquette et très impliquée. Son style presque désintéressé et caustique lui sert de support pour plaire et séduire. Très spontanée, elle reste quand même prudente et veut en savoir davantage sur notre intérêt de vouloir la faire paraître dans le supplément people du «Populaire». Finalement, elle plonge et accepte la séance de photographie avec Cheikh Diallo ; le «Monsieur images» du groupe Com7. L’histoire est ainsi contée.
Aïcha Sakho est née au Fouta Djallon d’un mariage entre deux Africains : un Sénégalais et une Guinéenne. L’histoire démarre avec sa naissance vers le mythique fleuve de la Guinée-Conakry. Son mètre 75, l’étudiante en comptabilité et gestion le tire d’un papa, spécialiste en bureautique au pays du Président Condé Alpha ; l’esthétique revenant à une maman commerçante qui, de son côté, surveille la scolarité de ses deux filles adorées à Dakar.
Jolie à souhait, la «Miss Oscar des Vacances 2009» a des allures de séduction très fortes. Par une démarche altière et fière, la nymphe aux 22 hivernages dépassés n’aime pas perdre du temps. «Time is money et le temps n’attend pas», crie-t-elle fort. Elle en profite pour nous dire qu’elle reste tout de même très raisonnable quant à ce qui est possible dans la limite de la mesure et ce qui ne l’est pas. «Je reste réfléchie et humaine sur certains aspects et aussi dans le business. On cherche à gagner, mais honnêtement et sans passion quand même».
Aïcha est mannequin professionnel et publicitaire, officiant dans le monde de la publicité et des vidéoclips. Elle aime la compagnie des enfants, la lecture et le voyage. Pieuse parce que respectant les cinq prières de la journée, elle affiche son ambition aux fibres d’idéaliste. En effet, sa couronne de «Miss Oscar» a été grandement fêtée à Conakry et cela lui a donné des idées, de très bonnes, d’ailleurs, qu’elle veut garder en coulisses. Ainsi, espère-t-elle pouvoir faire un geste important, entre autres projets de création d’une école et aider les filles victimes des traditions africaines. «J’aimerais faire une campagne de sensibilisation pour la lutte contre l’excision des jeunes filles ; surtout en Guinée, parce que le phénomène est désobligeant», regrette-t-elle. De poursuivre : «J’ai beaucoup de mes proches qui ont souffert de cela à Conakry où j’ai grandi et vécu pendant 10 ans. Je veux que cela cesse complètement».
Cette envie de bien faire la pousse, également, à vouloir traverser les eaux boueuses et caillouteuses de l’intégration africaine. «Je trouve qu’il est temps qu’on s’unisse, nous populations d’Afrique pour la construction, enfin, de notre continent. Nous devons nous départir de nos appartenances ethniques et religieuses, nous intégrer, dépasser les frontières, pour y arriver. Nous devons croire en nos valeurs et savoir que nous sommes tous des Africains».
Présente à Dakar depuis 4 ans, la passionnée de «Mafé Haako», le plat national guinéen, observe bien ce qui se passe et pense avoir son mot à dire. Pour les élections de février 2012, «je dirais tout simplement à mes frères sénégalais de voter dans le calme et sans querelles, car le Sénégal est un grand pays de paix et que le meilleur gagne».
Jolie à souhait, la «Miss Oscar des Vacances 2009» a des allures de séduction très fortes. Par une démarche altière et fière, la nymphe aux 22 hivernages dépassés n’aime pas perdre du temps. «Time is money et le temps n’attend pas», crie-t-elle fort. Elle en profite pour nous dire qu’elle reste tout de même très raisonnable quant à ce qui est possible dans la limite de la mesure et ce qui ne l’est pas. «Je reste réfléchie et humaine sur certains aspects et aussi dans le business. On cherche à gagner, mais honnêtement et sans passion quand même».
Aïcha est mannequin professionnel et publicitaire, officiant dans le monde de la publicité et des vidéoclips. Elle aime la compagnie des enfants, la lecture et le voyage. Pieuse parce que respectant les cinq prières de la journée, elle affiche son ambition aux fibres d’idéaliste. En effet, sa couronne de «Miss Oscar» a été grandement fêtée à Conakry et cela lui a donné des idées, de très bonnes, d’ailleurs, qu’elle veut garder en coulisses. Ainsi, espère-t-elle pouvoir faire un geste important, entre autres projets de création d’une école et aider les filles victimes des traditions africaines. «J’aimerais faire une campagne de sensibilisation pour la lutte contre l’excision des jeunes filles ; surtout en Guinée, parce que le phénomène est désobligeant», regrette-t-elle. De poursuivre : «J’ai beaucoup de mes proches qui ont souffert de cela à Conakry où j’ai grandi et vécu pendant 10 ans. Je veux que cela cesse complètement».
Cette envie de bien faire la pousse, également, à vouloir traverser les eaux boueuses et caillouteuses de l’intégration africaine. «Je trouve qu’il est temps qu’on s’unisse, nous populations d’Afrique pour la construction, enfin, de notre continent. Nous devons nous départir de nos appartenances ethniques et religieuses, nous intégrer, dépasser les frontières, pour y arriver. Nous devons croire en nos valeurs et savoir que nous sommes tous des Africains».
Présente à Dakar depuis 4 ans, la passionnée de «Mafé Haako», le plat national guinéen, observe bien ce qui se passe et pense avoir son mot à dire. Pour les élections de février 2012, «je dirais tout simplement à mes frères sénégalais de voter dans le calme et sans querelles, car le Sénégal est un grand pays de paix et que le meilleur gagne».
17 Commentaires
Lavoilee
En Juin, 2011 (23:10 PM)Libidore
En Juin, 2011 (23:54 PM)Faty
En Juin, 2011 (00:21 AM)Faty
En Juin, 2011 (00:22 AM)Faty
En Juin, 2011 (00:22 AM)Niceeeeeeeeeeeee
En Juin, 2011 (00:59 AM)No Name
En Juin, 2011 (17:23 PM)No Name
En Juin, 2011 (17:23 PM)No Name
En Juin, 2011 (17:25 PM)Alflrd
En Juin, 2011 (18:20 PM)Alflrd
En Juin, 2011 (18:22 PM)Dre
En Juin, 2011 (23:14 PM)B S
En Juin, 2011 (09:00 AM)Toi
En Juin, 2011 (18:41 PM)Sherihanne
En Juin, 2011 (19:00 PM)S Belle
En Juin, 2011 (11:04 AM)Sister
En Juin, 2011 (11:13 AM)