Saisine des biens de JLS : Leeral Askanwi accuse Karim appelle le peuple à se mettre aux cotes de Bara Tall

Le mouvement Leeral Askan Wi qui se dit indigné de la nouvelle tournure de l’entreprise Jean Lefèvre Sénégal (JLS) appelle le peuple sénégalais à se mettre aux cotes de Bara Tall pour montrer à Karim Wade que le Sénégal n’appartient pas à sa famille.

La saisie des locaux de Jean Lefèvre Sénégal (JLS) pour entrer dans les fonds n’est du gout du mouvement Leeral Askan Wi qui se dit indigné par cette nouvelle tournure. « Le Mouvement citoyen Leeral Askan Wi est extrêmement indigné par la nouvelle tournure des événements qui touchent l’entreprise de Bara Tall. Cette société, un des fleurons de l’industrie sénégalaise qui il n’y a pas longtemps comptait plus de 3000 employés, 20 Milliards de capital est entrain d’être détruite au profit d’autres entreprises étrangères », lit-on dans le communiqué reçu à la rédaction par courriel.

Pour Omar Faye et ses camarades, « au moment ou le Sénégal sort du 3eme Festival Mondial des Arts Negres, le président Abdoulaye Wade,après 1O ans de misère, de famine, d’usure, de désacralisation des croyance religieuse, d’agression, d’humiliation, est toujours sous le joug des blancs à qui tous les privilèges sont réservés ».

Ainsi, Leeral Askan Wi accuse le Ministre Karim Wade d’hypocrisie et de malhonnêteté pour avoir donné l’impression d'offrir sa médiation pour une résolution définitive de ce conflit en écartant Souleymane Ndene Ndiaye du dossier. « Sa solution est en fait la disparition pure et simple de la société de Bara Tall pour faire la part belle aux sociétés françaises. Le dilatoire dans le traitement de ce dossier vient d’obliger les banques à lancer la procédure de saisie et de vente des biens de la société », ajoute le document.

Pour barrer la route a ces fossoyeurs, Omar Faye et ses camarades appellent le peuple sénégalais à se mettre aux cotes de Bara Tall pour montrer à Karim Wade que le Sénégal n’appartient pas à sa famille. Nous appelons tous les patriotes au procès du 11 janvier pour exiger un jugement juste et équitable.